Un coucou à maman

Maurice Nzogang a voulu, pour sa maman, cette chanson sans jamais penser à un pareil son qu'il a toujours cru pas facile sur des couplets non moins difficiles, alors qu'il lui doit à elle tout cela même si elle se trouve dans l'au-delà sans qu'il n'oublie de la célébrer pour remercier celui qui a tout calibré au sein d'une jeune en adolescence et qu'elle ait accepté cette croissance pour qu'un matin Nzogang face son premier cri et qu'il le fasse encore aujourd'hui dans les écrits pour manifester cet honneur qu'elle lui a longtemps fait en bonheur.
Maurice tient cette fleur entre ses mains, toujours en rêvant d'un autre lendemain quand il pourra enfin lui offrir et cesser enfin de souffrir.