Neil Franklin est issu d'un milieu très privilégié, il étudie dans les meilleures universités et se voit déjà promis à de hautes fonctions. Mais sa bulle dorée éclate le jour où ses parents décèdent… Neil et sa sœur finissent sans argent et sans futur radieux. Un oncle éloigné va alors proposer un marché : il abandonne le grimoire familial et s’engage en tant que professeur à Highfell Hall, une école gratuite pour élèves difficiles. En échange, sa sœur sera en sécurité. Acculé, Neil accepte.
Mais une fois arrivé à Highfell Hall, le jeune homme va se rendre compte
que rien ne se déroule comme il l’avait prévu ou espéré. Les élèves ne sont pas formés à de bas travaux de bureau, et ils semblent tous fournir un travail dangereux. Leofa, le « colocataire » de Neil, semble en savoir grand sur les dessous de l’école, mais n’est pas disposé à impliquer Neil. La famille gérant les lieux et les élèves sont également très louches…
Au fur et à mesure, Neil va en apprendre de plus en plus, et ce qu’il découvre est bien loin du monde dans lequel il évoluait précédemment.
Lorsque je suis tombée sur le résumé du Grimoire Highfell, j'étais très curieuse : un univers à la sauce Steampunk, des secrets, de la magie… Nous sommes dans un univers Britannique, et où la magie est étudiée de manière scientifique. Cela donne lieu à des inventions et à des applications utiles pour la société, mais parfois grâce à de grands sacrifices.
En finissant Grimoire Highfell, je suis malheureusement restée un peu sceptique. Il y a de très bonnes choses, notamment l’univers, le fait que l’action se situe dans une école située dans les airs, le fait qu’il existe des grimoires familiaux, cette ambiance Steampunk…
Mais dans les côtés plus négatif, il y a d’abord Neil : c’est le personnage principal, mais je n’ai pas réussi à m’attacher à lui, et il m’a très souvent agacée. Déjà pour ce petit complexe de « supériorité » dû à son éducation, mais aussi parce que je l’ai trouvé assez souvent léthargique… Au contraire, Leofa m’intrigue beaucoup plus, je le suis avec plaisir, même si je le trouve beaucoup trop en retrait par rapport à Neil. Dans les personnages que j’ai adorée, il y a les enfants : on peut y voir un petit côté « enfants perdus », ce qui poussée à m’attacher énormément à eux.
Du côté de l’intrigue, je l’ai trouvé en dents de scie : des passages lents, un peu ennuyeux, avec quelques pics d’adrénaline. J’ai donc eu du mal à rester captivée tout au long de l’histoire.
Je repars donc mitigée de ma lecture du Grimoire Highfell, et j’en suis la première déçue car j’attendais énormément de choses de cette lecture. Trop, peut-être ? Et malgré ces points négatifs, je rappelle qu’il y a quand même des points positifs dans Le Grimoire Highfell, et c’est une lecture qui ne m’a peut-être pas embarquée tout du long, mais qui a des aspects très intéressants.
Donc, une lecture en demi-teinte pour moi, mais qui m’a rendu suffisamment curieuse pour retenter un jour d’autres romans de Langley Hyde !
Des bonnes choses, mais je suis mitigée...
Neil Franklin est issu d'un milieu très privilégié, il étudie dans les meilleures universités et se voit déjà promis à de hautes fonctions. Mais sa bulle dorée éclate le jour où ses parents décèdent… Neil et sa sœur finissent sans argent et sans futur radieux. Un oncle éloigné va alors proposer un marché : il abandonne le grimoire familial et s’engage en tant que professeur à Highfell Hall, une école gratuite pour élèves difficiles. En échange, sa sœur sera en sécurité. Acculé, Neil accepte.
Mais une fois arrivé à Highfell Hall, le jeune homme va se rendre compte que rien ne se déroule comme il l’avait prévu ou espéré. Les élèves ne sont pas formés à de bas travaux de bureau, et ils semblent tous fournir un travail dangereux. Leofa, le « colocataire » de Neil, semble en savoir grand sur les dessous de l’école, mais n’est pas disposé à impliquer Neil. La famille gérant les lieux et les élèves sont également très louches…
Au fur et à mesure, Neil va en apprendre de plus en plus, et ce qu’il découvre est bien loin du monde dans lequel il évoluait précédemment.
Lorsque je suis tombée sur le résumé du Grimoire Highfell, j'étais très curieuse : un univers à la sauce Steampunk, des secrets, de la magie… Nous sommes dans un univers Britannique, et où la magie est étudiée de manière scientifique. Cela donne lieu à des inventions et à des applications utiles pour la société, mais parfois grâce à de grands sacrifices.
En finissant Grimoire Highfell, je suis malheureusement restée un peu sceptique. Il y a de très bonnes choses, notamment l’univers, le fait que l’action se situe dans une école située dans les airs, le fait qu’il existe des grimoires familiaux, cette ambiance Steampunk…
Mais dans les côtés plus négatif, il y a d’abord Neil : c’est le personnage principal, mais je n’ai pas réussi à m’attacher à lui, et il m’a très souvent agacée. Déjà pour ce petit complexe de « supériorité » dû à son éducation, mais aussi parce que je l’ai trouvé assez souvent léthargique… Au contraire, Leofa m’intrigue beaucoup plus, je le suis avec plaisir, même si je le trouve beaucoup trop en retrait par rapport à Neil. Dans les personnages que j’ai adorée, il y a les enfants : on peut y voir un petit côté « enfants perdus », ce qui poussée à m’attacher énormément à eux.
Du côté de l’intrigue, je l’ai trouvé en dents de scie : des passages lents, un peu ennuyeux, avec quelques pics d’adrénaline. J’ai donc eu du mal à rester captivée tout au long de l’histoire.
Je repars donc mitigée de ma lecture du Grimoire Highfell, et j’en suis la première déçue car j’attendais énormément de choses de cette lecture. Trop, peut-être ? Et malgré ces points négatifs, je rappelle qu’il y a quand même des points positifs dans Le Grimoire Highfell, et c’est une lecture qui ne m’a peut-être pas embarquée tout du long, mais qui a des aspects très intéressants.
Donc, une lecture en demi-teinte pour moi, mais qui m’a rendu suffisamment curieuse pour retenter un jour d’autres romans de Langley Hyde !