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L’heure bleue, l’âme blanche, le coeur figé par le gel. La musique est écrite, les poèmes s’envolent. Il neige de sa guitare un flocon majeur, un arpège mineur. Des accords de papier qui caressent le verbe. Sa cantate, son boléro. Sa musique, son opéra. Son concertino, son aria. Au bout de son hiver, Orphée trouve Eurydice aussi sûrement qu’un adagio épouse le silence…Le Concerto solo de Patrick Lavina ? De lointains souvenirs à d’impossibles rêves, du conte à la confession, une douce mélodie qui souffle le chaud et le froid, qui berce autant qu’elle blesse, portée par une plume agile qui refuse de « mentir en couleurs pour une vie en noir et blanc ».