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Rien n'empêchera les Malegarde de se retrouver à Paris pour fêter les soixante-dix ans du père, arboriste à la réputation mondiale, pas même les pluies diluviennes qui s'abattent sur la Ville Lumière. La crue redoutée de la Seine est pourtant loin d'être la seule menace qui pèse sur la famille. Comment se protéger lorsque toutes les digues cèdent et que l'on est submergé ? Face au péril, parents et enfants devront s'avouer ce qu'ils s'étaient toujours caché.
Tandis qu'en miroir du fleuve les sentiments débordent, le drame monte en crescendo, démultipliant l'intensité des révélations.
Quand les éléments vous forcent à révéler vos plus grands secrets…
Enfin un nouveau roman de mon auteure préférée et celui-ci s’est fait attendre… Déjà parce qu’elle n’en avait pas publié depuis longtemps et parce que suite à quelques problèmes de livraison, je l’ai récupéré deux semaines après sa sortie…
Une crue démentielle à Paris, les flots sont prêts à tout engloutir. Une famille qui se retrouve pour l’anniversaire du père mais voilà, rien ne se passe comme prévu. Et comme souvent avec Tatiana, on retrouve comme thème le secret de famille.
Qu’est-ce que Linden, célèbre photographe franco-américain vivant à New York a de si terrible à cacher à ses parents, enfin surtout à son père? Qu’en est-il de sa sœur Tilia, qui vit à Londres avec sa fille et son ivrogne de second époux? N’oublions surtout pas M. et Mme MALEGARDE, les parents, que vont-ils nous révéler pendant ce long week-end qui ne semble ne pas vouloir les voir quitter Paris…
Encore un roman qui nous passionne, l’alternance entre les lettres (qu’on découvre écrites par M. MALEGARDE à la fin) et la narration ne casse en rien le rythme de l’intrigue qui semble cadencée par la montée de la Seine.