Rachel Abbott n’en est pas à son coup d’essai et cela se ressent à la lecture de Ce Qui ne Tue Pas.
L’histoire est bien en place, les descriptions évitent les longueurs inutiles, les dialogues sont posés sans être envahissants, et ses personnages, et leur psychologie, sont amenés progressivement, avec ce qu’il faut de questionnements et de non-dits pour nous laisser dans un flou agréable.
Markus, artiste tourmenté, et sa sœur Cleo ont une relation particulièrement fusionnelle, et ont pris l’habitude de ne compter que l’un sur l’autre.
Peut-être même un peu trop.
Lorsque
Mark rencontre Evie et décide de vivre avec elle, Cleo se montre tout de suite très méfiante, et une haine policée ne tarde pas à s’installer entre les deux femmes.
Aussi, lorsque son frère est retrouvé mort, il ne fait aucun doute pour elle qu’Evie l’a assassiné sans raison et elle n’hésite pas un instant à réfuter en bloc les violences que cette dernière semble avoir vécues.
Qui croire, de la sœur aimante ou de la compagne meurtrie ?
À sans cesse protéger son frère, Cleo n’en était-elle pas devenue aveugle au point d’occulter ses côtés sombres ?
Quant à Evie, pourquoi son passé semble-t-il si mystérieux ?
La guerre qui se joue entre ces deux femmes fera ressortir le pire de chacune d’elles, mais également du disparu.
Et mettra en lumière leurs secrets les plus noirs.
Ce thriller psychologique se lit facilement et rapidement, l’auteure sachant nous donner envie d’en connaître toujours plus sur chacun des protagonistes en nous plaçant, tour à tour, dans la tête de Cleo et d’Evie.
J’avoue que j’ai deviné le pourquoi de cette histoire assez tôt dans le roman.
Mais, même si c’est toujours un peu frustrant, ça ne m’a absolument pas gâché la suite, ni donné envie d’arrêter ma lecture.
Et bien m’en a pris !
D’une part parce que l’auteure amène les choses de manière construite, et parce que, contre toute attente, une des révélations finales s’est avérée vraiment surprenante.
Cette lecture a donc été une agréable surprise, et, même si ce n’est pas un coup de cœur, j’en garde un bon souvenir et la conseille à tous les lecteurs qui recherchent un thriller domestique entre deux romans plus « sanglants ».
Du bon thriller domestique.
Rachel Abbott n’en est pas à son coup d’essai et cela se ressent à la lecture de Ce Qui ne Tue Pas.
L’histoire est bien en place, les descriptions évitent les longueurs inutiles, les dialogues sont posés sans être envahissants, et ses personnages, et leur psychologie, sont amenés progressivement, avec ce qu’il faut de questionnements et de non-dits pour nous laisser dans un flou agréable.
Markus, artiste tourmenté, et sa sœur Cleo ont une relation particulièrement fusionnelle, et ont pris l’habitude de ne compter que l’un sur l’autre.
Peut-être même un peu trop.
Lorsque Mark rencontre Evie et décide de vivre avec elle, Cleo se montre tout de suite très méfiante, et une haine policée ne tarde pas à s’installer entre les deux femmes.
Aussi, lorsque son frère est retrouvé mort, il ne fait aucun doute pour elle qu’Evie l’a assassiné sans raison et elle n’hésite pas un instant à réfuter en bloc les violences que cette dernière semble avoir vécues.
Qui croire, de la sœur aimante ou de la compagne meurtrie ?
À sans cesse protéger son frère, Cleo n’en était-elle pas devenue aveugle au point d’occulter ses côtés sombres ?
Quant à Evie, pourquoi son passé semble-t-il si mystérieux ?
La guerre qui se joue entre ces deux femmes fera ressortir le pire de chacune d’elles, mais également du disparu.
Et mettra en lumière leurs secrets les plus noirs.
Ce thriller psychologique se lit facilement et rapidement, l’auteure sachant nous donner envie d’en connaître toujours plus sur chacun des protagonistes en nous plaçant, tour à tour, dans la tête de Cleo et d’Evie.
J’avoue que j’ai deviné le pourquoi de cette histoire assez tôt dans le roman.
Mais, même si c’est toujours un peu frustrant, ça ne m’a absolument pas gâché la suite, ni donné envie d’arrêter ma lecture.
Et bien m’en a pris !
D’une part parce que l’auteure amène les choses de manière construite, et parce que, contre toute attente, une des révélations finales s’est avérée vraiment surprenante.
Cette lecture a donc été une agréable surprise, et, même si ce n’est pas un coup de cœur, j’en garde un bon souvenir et la conseille à tous les lecteurs qui recherchent un thriller domestique entre deux romans plus « sanglants ».