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« J'ai fait le trottoir pour m'offrir ce qui était ma seule raison de vivre : la came. je voulais me prouver que je n'étais pas si laide, pas si nulle et, surtout, que j'étais plus forte que tout, plus forte que la mort. Et puis, il y a eu l'overdose et le diagnostic des médecins : irrécupérable. Alors, à vingt-sept ans, j'ai dû livrer ma dernière bataille... » Le témoignage de Bénédicte est complété par celui d'Alain Gehant, assistant social à Médecins du monde.