Stanley Cavell, le cinéma et le scepticisme - E-book - Multi-format

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Résumé

Ce livre parcourt les trois premiers livres philosophiques de Stanley Cavell (Dire et vouloir dire, La projection du monde et Sens de Walden) à la recherche des « catégories nouvelles » lui permettant de construire une « esthétique ordinaire » capable d'exprimer notre scepticisme, et non plus de s'en détourner ou de le répudier. Sa nouvelle réponse au scepticisme engage centralement la lecture d'ouvres d'art modernistes (pièces de théâtre, ouvres musicales, sculptures, peintures) et de films hollywoodiens et avant-gardistes où Cavell trouve des dépassements exemplaires de la tentation sceptique de succomber à la perte d'efficace des conventions traditionnelles, des manières nouvelles d'exprimer ce qui importe pour nous.
Dans cette esthétique ordinaire, le cinéma joue un rôle privilégié : il nous apprend à reconnaître notre « scepticisme ordinaire », et nous réconcilie avec le monde et les autres.

Caractéristiques

  • Date de parution
    01/01/2015
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-13-064051-6
  • EAN
    9782130640516
  • Format
    Multi-format
  • Nb. de pages
    176 pages
  • Caractéristiques du format Multi-format
    • Pages
      176
  • Caractéristiques du format Mobipocket
    • Protection num.
      pas de protection
  • Caractéristiques du format ePub
    • Protection num.
      pas de protection
  • Caractéristiques du format Streaming
    • Protection num.
      pas de protection

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À propos de l'auteur

Biographie d'Elise Domenach

Ce livre parcourt les trois premiers livres philosophiques de Stanley Cavell (Dire et vouloir dire, La projection du monde et Sens de Walden) à la recherche des « catégories nouvelles » lui permettant de construire une « esthétique ordinaire » capable d'exprimer notre scepticisme, et non plus de s'en détourner ou de le répudier. Sa nouvelle réponse au scepticisme engage centralement la lecture d'ouvres d'art modernistes (pièces de théâtre, ouvres musicales, sculptures, peintures) et de films hollywoodiens et avant-gardistes où Cavell trouve des dépassements exemplaires de la tentation sceptique de succomber à la perte d'efficace des conventions traditionnelles, des manières nouvelles d'exprimer ce qui importe pour nous.
Dans cette esthétique ordinaire, le cinéma joue un rôle privilégié : il nous apprend à reconnaître notre « scepticisme ordinaire », et nous réconcilie avec le monde et les autres.

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