Genève, 23 juillet 1844.
Au second quartier de la cinquième lune du Palmier d'Or, poëme d'Omed-ben-Aiaz, - est une strophe dont voici la traduction littéralement transcrite d'après un manuscrit génevois :
« Les archers vagabonds, brûlés par le soleil, s'arrêtent en cercle autour du cavalier seul, les yeux blancs, et affamés d'apprendre. - « Nommez-nous, dit le chef barbare, toutes les têtes du Mont Akiar ? - Nous savons les déserts jusqu'à l'horizon ; mais la lumière du Midi a trahi ces géants de la terre, remparts des tribus poursuivies.
Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
Genève, 23 juillet 1844.
Au second quartier de la cinquième lune du Palmier d'Or, poëme d'Omed-ben-Aiaz, - est une strophe dont voici la traduction littéralement transcrite d'après un manuscrit génevois :
« Les archers vagabonds, brûlés par le soleil, s'arrêtent en cercle autour du cavalier seul, les yeux blancs, et affamés d'apprendre. - « Nommez-nous, dit le chef barbare, toutes les têtes du Mont Akiar ? - Nous savons les déserts jusqu'à l'horizon ; mais la lumière du Midi a trahi ces géants de la terre, remparts des tribus poursuivies.
Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.