Un soir de décembre 2005, Barbara Molina disparait sans laisser de trace. Seuls un coup de fil paniqué à sa mère et son sac taché de sang démontrent qu’il ne s’agit pas d’une simple fugue.
Le récit nous est conté par la voix de plusieurs protagonistes : Barbara, sa mère, sa meilleure amie et le policier qui est chargé de l’enquête.
Chacun nous raconte ses peurs, ses doutes, son calvaire.
L’existence de la mère de Barbara s’est arrêtée le jour où sa fille a disparu, laissant son mari prendre les choses en main et ses jumeaux livrés à eux-mêmes.
Sa meilleure
amie culpabilise de ne pas avoir été à l’hauteur.
L’inspecteur en charge de l’enquête, à 24h de la retraite, a un gout d’inachevé. Il ne supporte pas de laisser une affaire, cette affaire, à son successeur en sachant bien que de toute façon, elle ne sera jamais bouclée.
Je me suis doutée de l’identité du kidnappeur mais j’avoue que le dénouement est particulièrement bien mené avec juste ce qu’il faut d’émotions et de suspense car jusqu’au dernier moment l’issue est incertaine.
Pour écrire cette histoire, l’auteure s’est inspirée deux faits divers : les séquestrations de Natacha Kampusch et d’Elizabeth Fritzl.
Ces deux jeunes femmes ont été enfermées et coupées du monde pendant de nombreuses années et manipulées psychologiquement par leur ravisseur. Une question taraude : peut-on reprendre une vie normale après une telle épreuve et comment s’en sort-on ?
J’ai beaucoup apprécié cette lecture où la psychologie des personnages est la clé de l’intrigue.
Il fait froid dans le dos mais nous permet de nous interroger sur nous-mêmes.
Monstrueux
Un soir de décembre 2005, Barbara Molina disparait sans laisser de trace. Seuls un coup de fil paniqué à sa mère et son sac taché de sang démontrent qu’il ne s’agit pas d’une simple fugue.
Le récit nous est conté par la voix de plusieurs protagonistes : Barbara, sa mère, sa meilleure amie et le policier qui est chargé de l’enquête.
Chacun nous raconte ses peurs, ses doutes, son calvaire.
L’existence de la mère de Barbara s’est arrêtée le jour où sa fille a disparu, laissant son mari prendre les choses en main et ses jumeaux livrés à eux-mêmes.
Sa meilleure amie culpabilise de ne pas avoir été à l’hauteur.
L’inspecteur en charge de l’enquête, à 24h de la retraite, a un gout d’inachevé. Il ne supporte pas de laisser une affaire, cette affaire, à son successeur en sachant bien que de toute façon, elle ne sera jamais bouclée.
Je me suis doutée de l’identité du kidnappeur mais j’avoue que le dénouement est particulièrement bien mené avec juste ce qu’il faut d’émotions et de suspense car jusqu’au dernier moment l’issue est incertaine.
Pour écrire cette histoire, l’auteure s’est inspirée deux faits divers : les séquestrations de Natacha Kampusch et d’Elizabeth Fritzl.
Ces deux jeunes femmes ont été enfermées et coupées du monde pendant de nombreuses années et manipulées psychologiquement par leur ravisseur. Une question taraude : peut-on reprendre une vie normale après une telle épreuve et comment s’en sort-on ?
J’ai beaucoup apprécié cette lecture où la psychologie des personnages est la clé de l’intrigue.
Il fait froid dans le dos mais nous permet de nous interroger sur nous-mêmes.