Mes Chers Vous,
Jonas est en perdition totale dans sa vie, estime qu'il ne manquera à personne et surtout qu'il n'a plus rien à accomplir. Il décide donc de mourir le mois de son anniversaire.
Toutefois, pour ne pas importuner sa fille, il choisit de partir mourir ailleurs, loin de chez lui, afin de déterminer quel jour exact et surtout par quel moyen, il va mettre fin à ses jours.
Pour prendre cette ultime décision, il se donne une semaine... et atterit dans un pays, en guerre.
"- Il suffit d'une phrase pour faire sauter un village.
Deux phrases pour anéantir le monde."
Évidemment,
rien ne va se passer comme prévu.
"Tout bien considéré, il n'est pas aussi urgent de mourir au pays de la mort."
Les plans de Jonas vont être contrariés par les personnes qu'il va croiser, par ce pays détruit qui tente de ressurgir de ses cendres mais également, peut être par l'instinct de survie et l'étincelle de l'amour.
C'est en captant de petits moments d'une grande simplicité mais également d'une grande poésie qu'Audur Ava Olafsdottir va doucement permettre à Jonas de panser ses plaies.
"Je suis comme tout le monde,
j'aime, je pleure et je souffre."
Ör est un roman qui pourrait s'avérer incroyablement douloureux mais la magie des mots de l'auteur permet au lecteur d'accueillir la douleur, de la comprendre, de laisser jaillir les larmes pour ensuite en sortir apaiser.
Une petite merveille de roman sur la reconstruction de soi-même qui rappelle que nos cicatrices, à la manière du kintsugi japonais, nous rendent incroyablement plus beaux !
C.
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2018/07/21/36576913.html
Un joli roman feel good
Mes Chers Vous,
Jonas est en perdition totale dans sa vie, estime qu'il ne manquera à personne et surtout qu'il n'a plus rien à accomplir. Il décide donc de mourir le mois de son anniversaire.
Toutefois, pour ne pas importuner sa fille, il choisit de partir mourir ailleurs, loin de chez lui, afin de déterminer quel jour exact et surtout par quel moyen, il va mettre fin à ses jours.
Pour prendre cette ultime décision, il se donne une semaine... et atterit dans un pays, en guerre.
"- Il suffit d'une phrase pour faire sauter un village.
Deux phrases pour anéantir le monde."
Évidemment, rien ne va se passer comme prévu.
"Tout bien considéré, il n'est pas aussi urgent de mourir au pays de la mort."
Les plans de Jonas vont être contrariés par les personnes qu'il va croiser, par ce pays détruit qui tente de ressurgir de ses cendres mais également, peut être par l'instinct de survie et l'étincelle de l'amour.
C'est en captant de petits moments d'une grande simplicité mais également d'une grande poésie qu'Audur Ava Olafsdottir va doucement permettre à Jonas de panser ses plaies.
"Je suis comme tout le monde,
j'aime, je pleure et je souffre."
Ör est un roman qui pourrait s'avérer incroyablement douloureux mais la magie des mots de l'auteur permet au lecteur d'accueillir la douleur, de la comprendre, de laisser jaillir les larmes pour ensuite en sortir apaiser.
Une petite merveille de roman sur la reconstruction de soi-même qui rappelle que nos cicatrices, à la manière du kintsugi japonais, nous rendent incroyablement plus beaux !
C.
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2018/07/21/36576913.html