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« Si la porte du fief restait entre-baîllée, Taurus entrait dans le jardin dont les allées le séduisaient d'abord par leurs oillets fleuris. Il mâchait les boutons et, cessant à nos cris, sautait sur nos genoux, penaud de l'incartade, jonglait avec un os trouvé dans ses gambades ; puis, après un regard de défi polisson et mille autres zigzags à travers le gazon. Ivre de ces galops retournant ses oreilles, voluptueusement se vautrait dans l'oseille ! ».
Voici 24 poèmes d'Albert Hennequin, en hommage à nos amis à quatre pattes.