Cher Vous,
René Frégni est un poète, un écrivain à la plume magique et inclassable… Une raison suffisante pour avoir envie de découvrir son roman "Les vivants au prix des morts".
Dans ce roman, tout démarre comme un joli roman de blanche. Le Sud, le type qui se laisse vivre, qui coule des jours heureux. Il aime sa région, et surtout Isabelle, sa compagne.
C’est joli comme du Proust sans être soporifique ou laxatif… Désolé, je suis un de ces êtres incultes qui n’a jamais réussi à finir Du côté de chez Swan, pourtant j’ai récidivé avec À l’ombre des jeunes
filles en fleurs, mais j’ai stoppé la lecture avant qu’elles ne fanent…
Donc, j’ai écrit une connerie, une de plus…
Frégni c’est beau comme du Giono…
Voilà, c’est mieux non ? Pis ça rime en plus…
Bref, René te trimbale dans sa région avec ses mots, c’est la tranquillité.
Puis arrive Kader. Kader qui vient de se faire la belle. Kader un voyou qui n’a pas froid aux yeux. Kader qui a des comptes à régler. Kader qui n’a personne, sauf René Frégni, le romancier qui donne des ateliers d’écriture en prison. Kader qui va chambouler, et pas qu’un peu la vie de René…
Parce que René Frégni, quand il écrit, il mêle la réalité, son imagination, la fiction, ce qui fait qu’au détour de certaines pages, tu ne sais plus où tu en es, vrai, faux, entre les deux ?
Puis il y a l’écriture, totalement aboutie.
Frégni, je l’ai croisé par hasard lors d’un salon, je ne le connaissais ni des lèvres,ni des dents comme dirait Béru… j’ai rencontré un vrai Monsieur, avec la majuscule, et un Écrivain, toujours avec la majuscule, de très grands talents… d’ailleurs, quand je serais grand, j’voudrais écrire aussi bien que lui, c’est te dire !
Pour en revenir au roman, n’hésite pas, comme tout ce que René a écrit, un type qui te prend la main dans la blanche, t’abandonne dans le noir, pour te faire finir son livre avec le sourire, mais l’œil un peu humide, c’est une denrée rare…
Stanislas Petrosky.
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2019/04/29/37296522.html
Poétique, tendre et terriblement humain !
Cher Vous,
René Frégni est un poète, un écrivain à la plume magique et inclassable… Une raison suffisante pour avoir envie de découvrir son roman "Les vivants au prix des morts".
Dans ce roman, tout démarre comme un joli roman de blanche. Le Sud, le type qui se laisse vivre, qui coule des jours heureux. Il aime sa région, et surtout Isabelle, sa compagne.
C’est joli comme du Proust sans être soporifique ou laxatif… Désolé, je suis un de ces êtres incultes qui n’a jamais réussi à finir Du côté de chez Swan, pourtant j’ai récidivé avec À l’ombre des jeunes filles en fleurs, mais j’ai stoppé la lecture avant qu’elles ne fanent…
Donc, j’ai écrit une connerie, une de plus…
Frégni c’est beau comme du Giono…
Voilà, c’est mieux non ? Pis ça rime en plus…
Bref, René te trimbale dans sa région avec ses mots, c’est la tranquillité.
Puis arrive Kader. Kader qui vient de se faire la belle. Kader un voyou qui n’a pas froid aux yeux. Kader qui a des comptes à régler. Kader qui n’a personne, sauf René Frégni, le romancier qui donne des ateliers d’écriture en prison. Kader qui va chambouler, et pas qu’un peu la vie de René…
Parce que René Frégni, quand il écrit, il mêle la réalité, son imagination, la fiction, ce qui fait qu’au détour de certaines pages, tu ne sais plus où tu en es, vrai, faux, entre les deux ?
Puis il y a l’écriture, totalement aboutie.
Frégni, je l’ai croisé par hasard lors d’un salon, je ne le connaissais ni des lèvres,ni des dents comme dirait Béru… j’ai rencontré un vrai Monsieur, avec la majuscule, et un Écrivain, toujours avec la majuscule, de très grands talents… d’ailleurs, quand je serais grand, j’voudrais écrire aussi bien que lui, c’est te dire !
Pour en revenir au roman, n’hésite pas, comme tout ce que René a écrit, un type qui te prend la main dans la blanche, t’abandonne dans le noir, pour te faire finir son livre avec le sourire, mais l’œil un peu humide, c’est une denrée rare…
Stanislas Petrosky.
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2019/04/29/37296522.html