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Geroges Banu, critique, homme de théâtre, essayiste, parle en ces termes de l'ouvre d'Octavian Hoandr :
« Je lis Octavian Hoandr et j'ai le sentiment de me retrouver, je le lis et j'aime cette intimité avec la réalité et avec les hommes, je le lis et je me console temporairement de « l'absence » qui ne trouve pas sa réponse. Camille Claudel écrivait à Rodin : « Il y aura toujours quelque chose d'absent ».
Sans doute, mais il y a des palliatifs de passage, comme les poèmes ou les ouvres des artistes réticents envers l'absolu précisément pour pouvoir se confronter à la relativité de l'immédiat, au concret et à la morale, à tout ce qui nous met chaque jour à l'épreuve et nous prépare pour un devenir, pas du tout pour une révélation. Ainsi, temporairement, nous nous sauvons nous-mêmes, seuls et... ensemble ».