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Séraphin Monge, héros de La maison assassinée, est mort dans quelque éboulement de montagne où il cherchait la solitude propice aux êtres de son espèce.
Plusieurs personnages illustrent cette histoire : un évêque fort en peine devant quelques miracles qu'il réprouve, la silhouette malingre d'un maquisard de vingt ans, dépenaillé et pacifiste, dont le nom est Laviolette !
Mais est-ce bien là le véritable destin de Séraphin Monge ? L'auteur nous fait partager ses doutes et nous tient en haleine jusqu'à la dernière ligne.
Une suite encore meilleure
Cette suite de "la maison assassinée" aurait mérité une adaptation cinéma. Elle est encore meilleure que le précédent roman. Voici deux femmes amoureuses d'un même homme alors que celui-ci est mort. Qu'à cela ne tienne, elles vont vivre dans son souvenir et même elles vont aller jusqu'à rendre un culte mortuaire à ses ossements. Un très beau roman d'amour avec une pointe de surnaturel et de superstitions paysannes.