Le châtiment des élites - E-book - ePub

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Sous le sceau du secret d'Etat, la république est la proie d'un prédateur ! Les têtes des élites de la nation roulent dans des caniveaux insalubres.... Lire la suite
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    • Le châtiment des élites
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      Paru le : 29/09/2011
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    • Le châtiment des élites
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      Paru le : 06/11/2014
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Résumé

Sous le sceau du secret d'Etat, la république est la proie d'un prédateur ! Les têtes des élites de la nation roulent dans des caniveaux insalubres. Les hommes les plus influents de la sphère économique et politique paient de leur vie leurs abus de pouvoir. Dans l'ombre, se dresse un justicier sans visage et sans mobile apparent rendant l'enquête plus complexe. Seules la ténacité et la fulgurance de ses intuitions permettront au commissaire Brocca de démêler les fils d'une enquête engluée dans les méandres des sociétés secrètes.

Caractéristiques

  • Date de parution
    06/11/2014
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-8195-0252-4
  • EAN
    9782819502524
  • Format
    ePub
  • Nb. de pages
    304 pages
  • Caractéristiques du format ePub
    • Pages
      304
    • Taille
      1 263 Ko
    • Protection num.
      Digital Watermarking

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À propos de l'auteur

Biographie de Giampiero Marongiu

50 ans, chef d’entreprise et français du monde. Expatrié perpétuel, Giampiero Marongiu mêle aux cultures d’ailleurs les accents de sa France natale. Qui je suis, d’où je viens ? Ma seule certitude est que j’ai dû naître quelque part en méditerranée au large de Marseille. Un jour de mistral sans doute si j’en juge par la difficulté que j’ai toujours éprouvée à lutter contre le courant. Quand je pense à ce jour lointain du mois de mars 1960, la première image qu’i me vient en mémoire, c’est la statue dorée qui veille sur le port.
Notre Dame de la Garde, illuminée de soleil qui s’élève dans un ciel bleu sans concession, comme si elle flottait dans l’air au-dessus de la ville. J'ai, au fond du coeur, ce bleu qui n'existe que dans l’idée que l’on se fait du ciel, et le sourire de cette vierge qui est celui de toutes les mères. Ce qui me définit mieux que les mots, les dates ou la liste infinie de mes erreurs, ce sont les sensations, ces morceaux d’émotion qui s’accrochent à la peau.
La première d’entre elles est le goût du sel sur les lèvres. Ensuite, c'est la perception du vent qui remue les idées, qui nettoie les oreilles et qui parfois poursuit sa route jusque dans les recoins les plus poussiéreux de la conscience. Il y a les odeurs aussi, celles d’Orient, d’Asie, d’Afrique et d'alentours. Ces odeurs, qui comme les accents qu’elles emportent flottent dans l’air avant de s’accrocher dans une rue, un quartier, un village.
Il ne me viendrait pas l’esprit de les chasser pour aseptiser mon paysage. Elles m'ont toujours été nécessaires et vitales. Et enfin, il y a le goût. Celui du basilic, du thym, du fenouil, de l’ail, l’huile d’olive et de l'anis. Il m’en a fallu du temps pour réaliser qu'au bout de tout, je n'avais finalement jamais quitté la rue où j’ai grandi. Je ne la voyais plus, ou bien, était-ce que je regardais ailleurs ? Elle était pourtant toujours avec moi en travers de mes errances.
Toujours là, dans les recoins les plus sombres où j’ai traîné mes illusions. C'est la lumière d'un sourire, pas celui d'une statue, mais celui d'une femme, qui comme un phare dans la nuit qui me reconduisit à bon port. Ma rue, elle, n’avait jamais changé de place. La statue de la vierge non plus n’a pas changé, c’est toujours avec le même regard indulgent qu’elle veille sur les marins qui ont pris le large.
Il m'arrive, les jours de mistral, d'entendre une voix murmurer que le vent ne change jamais de direction, ce sont les hommes qui parfois lui tournent le dos. Et si je ne suis pas rentré au bercail, c’est peut-être parce que je ne l’ai jamais quitté ce rivage qui me colle à la peau. Alors, j’écris pour les femmes qui sourient et pour les hommes qui s'épuisent à nager à contre-courant.

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