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Emouvant
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jalousie
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amour maternel
Un chat abandonné se choisit une nouvelle maison plus qu’un nouveau maître. C’est ce que fait Cosima avec la maison de Viviane.
Viviane, alerte retraitée, vivant seule dans son chalet recueille donc Cosima, petit chat écorché un soir d’automne. Viviane, cette femme mûre qui n’a jamais pu fonder une famille et avoir les enfants qu’elle aurait tant voulu avoir. Alors, ce petit bout de femme, à peine sortie de l’adolescence, pourquoi ne pas l’accueillir chez elle, hein, pourquoi ? Elle a de la place, du temps libre, de l’amour à revendre.
Cosima va faire sa petite pelote
chez Viviane, mais restera chaton, refusant toute entrave à sa liberté.
Comment faire lorsque l’on a un trop plein d’amour à déverser, un amour maternel tout neuf, pour ne pas étouffer le chaton ? Viviane décide, qu’après tout, on ne meurt pas de trop d’amour et court le risque. Elle vit sur un nuage lorsqu’elle apprend que Cosi est enceinte et que d’un seul coup, elle va devenir mère et grand-mère ! Claudie Pernusch décrit les affres de l’amour, de la jalousie, du besoin de l’autre. Souvent le petit nuage se transforme en gros nuage orageux. On ne met pas un petit chat sous un globe de verre comme le bouquet de mariée de nos grands-mères.
Cosima enceinte, a besoin que quelqu’un s’occupe d’elle et elle a très bien ciblé Viviane. Est-ce une opportuniste ? Peut-être, d’autant que Claudie Pernusch donne l’impression que, de la part de la jeune femme, tout est calculé, pensé dans ses relations avec Viviane, comme son carnet dépassant du matelas.
Cosi avait besoin de se refaire une santé, sans vouloir s’attacher. De toute façon, lorsque l’on n’est pas bien dans sa tête et dans son corps, on ne peut donner de l’amour, on ne peut que recevoir pour rassembler les morceaux du puzzle. C’est ce que fait la jeune femme sans vouloir prêter attentions aux ravages qu’elle fait autour d’elle.
Peut-être la petite graine de l’amour maternel de Viviane poussera-t-elle plus tard.
Comme dans son précédent roman, une visite surprise, Claudie Pernusch s’interroge sur la parentalité. Les descriptions de la nature autour du chalet sont belles, c’est un régal de se promener avec Viviane dans la lande.
Dans la maison de Vivianne
Un chat abandonné se choisit une nouvelle maison plus qu’un nouveau maître. C’est ce que fait Cosima avec la maison de Viviane.
Viviane, alerte retraitée, vivant seule dans son chalet recueille donc Cosima, petit chat écorché un soir d’automne. Viviane, cette femme mûre qui n’a jamais pu fonder une famille et avoir les enfants qu’elle aurait tant voulu avoir. Alors, ce petit bout de femme, à peine sortie de l’adolescence, pourquoi ne pas l’accueillir chez elle, hein, pourquoi ? Elle a de la place, du temps libre, de l’amour à revendre.
Cosima va faire sa petite pelote chez Viviane, mais restera chaton, refusant toute entrave à sa liberté.
Comment faire lorsque l’on a un trop plein d’amour à déverser, un amour maternel tout neuf, pour ne pas étouffer le chaton ? Viviane décide, qu’après tout, on ne meurt pas de trop d’amour et court le risque. Elle vit sur un nuage lorsqu’elle apprend que Cosi est enceinte et que d’un seul coup, elle va devenir mère et grand-mère ! Claudie Pernusch décrit les affres de l’amour, de la jalousie, du besoin de l’autre. Souvent le petit nuage se transforme en gros nuage orageux. On ne met pas un petit chat sous un globe de verre comme le bouquet de mariée de nos grands-mères.
Cosima enceinte, a besoin que quelqu’un s’occupe d’elle et elle a très bien ciblé Viviane. Est-ce une opportuniste ? Peut-être, d’autant que Claudie Pernusch donne l’impression que, de la part de la jeune femme, tout est calculé, pensé dans ses relations avec Viviane, comme son carnet dépassant du matelas.
Cosi avait besoin de se refaire une santé, sans vouloir s’attacher. De toute façon, lorsque l’on n’est pas bien dans sa tête et dans son corps, on ne peut donner de l’amour, on ne peut que recevoir pour rassembler les morceaux du puzzle. C’est ce que fait la jeune femme sans vouloir prêter attentions aux ravages qu’elle fait autour d’elle.
Peut-être la petite graine de l’amour maternel de Viviane poussera-t-elle plus tard.
Comme dans son précédent roman, une visite surprise, Claudie Pernusch s’interroge sur la parentalité. Les descriptions de la nature autour du chalet sont belles, c’est un régal de se promener avec Viviane dans la lande.