Thomas Quick, l’homme interné en asile psychiatrique et qui avait avoué 33 meurtres était un mythomane.
Les protagonistes avaient intérêts à ce qu’il soit reconnu en temps que « Serial Killer » : tout d’abord, le procureur, qui commençait sa carrière et n’a pas tenu compte de tous les éléments de l’enquête de police ; ensuite, le corps médical qui s’est servi de lui pour appuyer ses théories du refoulement des souvenirs.
De plus, des témoins qui possédaient la preuve de l’innocence de Quick ont été tout simplement ignorés, les experts qui n’étaient pas d’accord
avec sa culpabilité ont été gardé à l’écart, des témoignages entiers ont été passés sous silence.
Lorsque les interrogatoires de Quick concernant des détails relatifs aux meurtres étaient faux, il était « aiguillé» vers des réponses qui l’accusaient.
Hannes Rastam nous présente ici un véritable travail d’investigation.
Ce qui glace le sang c’est que les faux aveux ne sont pas cas rares lors des enquêtes, cela pour différentes raisons, et les véritables assassins restent alors impunis.
Une affaire incroyable digne d’un roman de fiction.
A lire et à MEDITER.
Une terrifiante histoire vraie
Thomas Quick, l’homme interné en asile psychiatrique et qui avait avoué 33 meurtres était un mythomane.
Les protagonistes avaient intérêts à ce qu’il soit reconnu en temps que « Serial Killer » : tout d’abord, le procureur, qui commençait sa carrière et n’a pas tenu compte de tous les éléments de l’enquête de police ; ensuite, le corps médical qui s’est servi de lui pour appuyer ses théories du refoulement des souvenirs.
De plus, des témoins qui possédaient la preuve de l’innocence de Quick ont été tout simplement ignorés, les experts qui n’étaient pas d’accord avec sa culpabilité ont été gardé à l’écart, des témoignages entiers ont été passés sous silence.
Lorsque les interrogatoires de Quick concernant des détails relatifs aux meurtres étaient faux, il était « aiguillé» vers des réponses qui l’accusaient.
Hannes Rastam nous présente ici un véritable travail d’investigation.
Ce qui glace le sang c’est que les faux aveux ne sont pas cas rares lors des enquêtes, cela pour différentes raisons, et les véritables assassins restent alors impunis.
Une affaire incroyable digne d’un roman de fiction.
A lire et à MEDITER.