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Sur le visage de Hanà, Tanyé découvre une expression terrible, un mélange de douleur et de frayeur. Dans ses pupilles, il ne voit plus ce soldat prêt à l'affronter, mais la beauté de ses yeux, fenêtres de son âme. Dans ses mains légères et agiles, ce n'est plus l'arme tenue fermement et dirigée vers lui, mais ses doigts qui s'ouvrent en corolle, prêts à offrir son cour. Quand il observe son corps, ce n'est plus l'uniforme sombre qu'il aperçoit, mais sa grâce, sa féminité finement déposée sur le relief de ses formes.