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Et mon cour se serra est un conte étrange en cent dix-neuf dessins de l'artiste connu sous le nom « Le Sonneur » et vingt-huit textes d'Antoine Laurain. Entre art et littérature, entre roman dessiné et poésie typographique.
De cette aimée enfuie et perdue, nous ne connaîtrons jamais le nom, mais elle hante le livre.
L'amour, la rupture, la solitude, l'espoir.
Comment transmettre les sentiments en trois couleurs : rouge, noir, blanc ?
Comment les faire passer avec juste vingt-six lettres dans l'alphabet ?
Beaucoup l'ont tenté avant eux : Breton, Mallarmé, Gainsbourg pour ne citer qu'eux.
Laurain et Le Sonneur relèvent le défi.
Au mieux, c'est un excellent livre.
Dans le pire des cas, ils ont fait un chef-d'ouvre.
Aujourd'hui, demain
La douleur de la séparation, la solitude qui suit le départ de l'être aimé, nous les connaissons tous, ou presque. Mais comment les raconter, quels mots choisir pour décrire l'état dans lequel nous tombons, comme on tomberait dans un puits, quand tout devient vide, lointain, hostile ?
Les auteurs, de façon singulière, par les mots, par les dessins, y parviennent.
Un très beau livre sur l'amour, la douleur, l'espoir.