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C'est une opinion trop répandue que celle qui prête à l'ouvre d'art une action moralisatrice. Trop répandue, parce qu'elle ajoute à la nuée de confusions dont reste enveloppée la notion du Beau et que, d'autre part, elle empêche d'apprécier sainement la valeur intrinsèque des ouvres. Croire à l'influence moralisatrice de l'art, c'est se payer de mots.
Et d'abord, il s'agit de préciser ce qu'on entend par art, l'abus qu'on a fait de ce mot exige cette précaution.
Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.