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Tu es le soleil battu, tes cheveux disent le chaos après la lutte, parlent nos yeux sans visage, sans ces lendemains jamais nôtres, ces plaines longues où des chiens pendus rivalisent avec l'orage, approche dans le lit du jour, avec pour fardeau le visage des lutteurs, les reins lourds, la mort épaisse perce tes cheveux, livre le vent par les épaules, l'enclume des bourreaux exulte ce soir, notre course commence avec les premiers gels.