Créole et français à La Réunion : réflexions sociolinguistiques, épistémologiques et politiques
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- Nombre de pages280
- FormatPDF
- ISBN978-2-38444-040-5
- EAN9782384440405
- Date de parution14/02/2024
- Protection num.Adobe DRM
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurPresses Universitaires Indiano
Résumé
Que parle-t-on à La Réunion quand on déclare parler français ou créole ? Les « mélanges » observés sont-ils aléatoires, tous imprévisibles ? Fabrice Georger tente une description des tendances en général observables dans le répertoire langagier individuel des Réunionnais créolophones. Certains éléments de la syntaxe ne jouent pas le même rôle que les éléments relevant de la phonologie et du lexique.
Certains modes de discours peuvent être distingués en fonction de la situation de communication. Dans les situations ordinaires de la vie courante il mobilise largement le concept d'interlecte, théorisé par son Professeur Lambert Félix Prudent. Dans les situations d'apprentissage, les énoncés interlectaux particuliers relèvent davantage des mécanismes de l'interlangue décrits par certains didacticiens.
La cohabitation du créole et du français est analysée donc ici dans un cadre interlectal et dans une approche complexe, ce qui permet aussi à l'auteur de partager tout haut ses réflexions épistémologiques très influencées par Louis-Jean Calvet, Didier de Robillard et Philippe Blanchet. Les trois derniers chapitres sont consacrés à trois thèmes de moins en moins sulfureux mais pourtant toujours aussi passionnants et passionnés de la vie linguistique réunionnaise, à savoir la politique linguistique, le créole à l'école et l'écriture du créole.
En assumant l'implication du chercheur dans son objet d'étude, la posture du militant est mise au second plan afin d'écarter toute surenchère idéologique. L'auteur propose donc, modestement, de partager huit grands thèmes de réflexion de la créolistique réunionnaise.
Certains modes de discours peuvent être distingués en fonction de la situation de communication. Dans les situations ordinaires de la vie courante il mobilise largement le concept d'interlecte, théorisé par son Professeur Lambert Félix Prudent. Dans les situations d'apprentissage, les énoncés interlectaux particuliers relèvent davantage des mécanismes de l'interlangue décrits par certains didacticiens.
La cohabitation du créole et du français est analysée donc ici dans un cadre interlectal et dans une approche complexe, ce qui permet aussi à l'auteur de partager tout haut ses réflexions épistémologiques très influencées par Louis-Jean Calvet, Didier de Robillard et Philippe Blanchet. Les trois derniers chapitres sont consacrés à trois thèmes de moins en moins sulfureux mais pourtant toujours aussi passionnants et passionnés de la vie linguistique réunionnaise, à savoir la politique linguistique, le créole à l'école et l'écriture du créole.
En assumant l'implication du chercheur dans son objet d'étude, la posture du militant est mise au second plan afin d'écarter toute surenchère idéologique. L'auteur propose donc, modestement, de partager huit grands thèmes de réflexion de la créolistique réunionnaise.
Que parle-t-on à La Réunion quand on déclare parler français ou créole ? Les « mélanges » observés sont-ils aléatoires, tous imprévisibles ? Fabrice Georger tente une description des tendances en général observables dans le répertoire langagier individuel des Réunionnais créolophones. Certains éléments de la syntaxe ne jouent pas le même rôle que les éléments relevant de la phonologie et du lexique.
Certains modes de discours peuvent être distingués en fonction de la situation de communication. Dans les situations ordinaires de la vie courante il mobilise largement le concept d'interlecte, théorisé par son Professeur Lambert Félix Prudent. Dans les situations d'apprentissage, les énoncés interlectaux particuliers relèvent davantage des mécanismes de l'interlangue décrits par certains didacticiens.
La cohabitation du créole et du français est analysée donc ici dans un cadre interlectal et dans une approche complexe, ce qui permet aussi à l'auteur de partager tout haut ses réflexions épistémologiques très influencées par Louis-Jean Calvet, Didier de Robillard et Philippe Blanchet. Les trois derniers chapitres sont consacrés à trois thèmes de moins en moins sulfureux mais pourtant toujours aussi passionnants et passionnés de la vie linguistique réunionnaise, à savoir la politique linguistique, le créole à l'école et l'écriture du créole.
En assumant l'implication du chercheur dans son objet d'étude, la posture du militant est mise au second plan afin d'écarter toute surenchère idéologique. L'auteur propose donc, modestement, de partager huit grands thèmes de réflexion de la créolistique réunionnaise.
Certains modes de discours peuvent être distingués en fonction de la situation de communication. Dans les situations ordinaires de la vie courante il mobilise largement le concept d'interlecte, théorisé par son Professeur Lambert Félix Prudent. Dans les situations d'apprentissage, les énoncés interlectaux particuliers relèvent davantage des mécanismes de l'interlangue décrits par certains didacticiens.
La cohabitation du créole et du français est analysée donc ici dans un cadre interlectal et dans une approche complexe, ce qui permet aussi à l'auteur de partager tout haut ses réflexions épistémologiques très influencées par Louis-Jean Calvet, Didier de Robillard et Philippe Blanchet. Les trois derniers chapitres sont consacrés à trois thèmes de moins en moins sulfureux mais pourtant toujours aussi passionnants et passionnés de la vie linguistique réunionnaise, à savoir la politique linguistique, le créole à l'école et l'écriture du créole.
En assumant l'implication du chercheur dans son objet d'étude, la posture du militant est mise au second plan afin d'écarter toute surenchère idéologique. L'auteur propose donc, modestement, de partager huit grands thèmes de réflexion de la créolistique réunionnaise.