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Le titre de ce livre, Au pays du long nuage blanc est emprunté à une légende maorie très connue. C'est une manière poétique de désigner la Nouvelle-Zélande. Charles Juliet a écrit ce journal au cours d'une résidence de cinq mois qu'il a effectuée l'année dernière à Wellington. Il l'a tenu avec assiduité, afin de garder trace de ce qu'il a vécu au long de ce séjour. On trouvera dans ces pages le récit de ses rencontres, de ses voyages à Auckland, et dans l'île du sud à Dunedin et Christchurch, puis de son passage à Singapour.
On trouvera également des notes de lecture, des notes sur la Nouvelle-Zélande, sur ses habitants, des notes de réflexion sur la création poétique alternant avec des souvenirs d'enfance et des poèmes. Ces pages d'une certaine diversité n'ont rien d'anecdotique. Écrites avec rigueur, elles ont été méditées et sont d'une réelle densité. Plusieurs ont trait aux thèmes de prédilection de cet auteur : quête de soi, recherche d'une meilleure compréhension des autres et du monde.
Bien que différent des cinq tomes précédents, ce Journal s'inscrit tout naturellement dans leur prolongement.
Au pays du long nuage blanc
Quelle déception ! Il faut dire que j’attendais de ce roman une découverte du pays et de ses habitants. J’ai découvert un auteur auto-centré. Vous m’objecterez que c’est normal puisque c’est le journal de son séjour à Wellington. Soit. Mais justement, je m’attendais à lire la découverte d’un pays et de ses us et coutumes, aux antipodes des nôtres, je n’ai lu qu’un homme se décrivant lui-même.
Si vous voulez en apprendre plus sur l’auteur, vous serez comblé.
L’image que je retiendrai :
Celle du nom maori du pays : « Le pays du long nuage blanc ».
https://alexmotamots.wordpress.com/2015/07/31/au-pays-du-long-nuage-blanc-charles-juliet/