Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Il fut un temps où la science était considérée comme un art et l'art comme une science. Les peintres tentaient alors de réconcilier le visible et...
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Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Il fut un temps où la science était considérée comme un art et l'art comme une science. Les peintres tentaient alors de réconcilier le visible et l'intelligible. Dans cet essai qui surprend et fascine, Anita Albus raconte
comment s'est développée, du XVe au XVIIe siècle, en particulier la peinture en trompe-l'œil et choisit comme exemples quelques œuvres de maîtres, grands comme Jan Van Eyck et moins grands, d'Europe du Nord. A la fois savante, dans la tradition de Panofsky, et sensible, le peintre qu'elle est voit des aspects que nul n'a encore perçus ; et la subtile narratrice nous décrit la part
d'abstraction, les détails infimes que notre regard ne saurait discerner. Sa méthode, celle des couches, elle l'emprunte aux anciens maîtres eux-mêmes. Elle nous
apprend à distinguer les différents niveaux de cette peinture, tant sur le plan de la technique - notamment l'alchimie des pigments et des couleurs - que sur celui de la signification d'œuvres qu'elle ne sépare jamais de leur contexte philosophique et historique. Le lecteur fera aisément la synthèse de ces richesses provenant de multiples champs de savoir et reliées par une vision du monde et de l'art pictural propre à l'auteur.