Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Guérillero dans le Léon pendant quatre ans, condamné à mort par la dictature franquiste, exilé comme tant d'autres, Francisco Martinez-Lopez " El...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
Guérillero dans le Léon pendant quatre ans, condamné à mort par la dictature franquiste, exilé comme tant d'autres, Francisco Martinez-Lopez " El Quico " a vécu en France, à partir de 1951, vingt-sept années d'exil avant de revenir en Espagne après la chute du franquisme.
Espagne 1939 : la Guerre civile n'est pas finie. Pendant et après la deuxième guerre mondiale, des foyers de guérillas continuent de combattre le franquisme dans plusieurs régions du pays. Cette histoire totalement inconnue en France reste méconnue en Espagne. Dans la province du Léon, une de ces guérillas s'est poursuivie jusqu'en 1952. Quico est l'un de ses derniers survivants. Son récit est un fragment de cette histoire refoulé.
Espagne 1975 : la dictature succombe avec le dictateur. Une " transition de velours " ouvre la voie à une Espagne démocratique qui s'offre " l'amnésie pour prix de l'amnistie " : la reconnaissance de la légitimité de la lutte armée contre le franquisme et la réhabilitation des hommes et des femmes qui ont participé à la guérilla peut attendre. Ils attendent toujours.
Espagne 2000 : le passé réclame son dû. Une poignée d'anciens guérilleros et des antifranquistes de tous horizons et de toutes générations poursuivent ensemble une guérilla pour la mémoire. Le témoignage de Quico est une contribution à cette guérilla.
France 2000 : les procureurs ont l'histoire courte. Sous couvert de dénoncer le désastre stalinien, ils convertissent en de simples marionnettes et d'aveugles assassins (au service des dictatures qui, en Est-Europe et ailleurs, ont dominé des peuples entiers) tous ceux qui, membres des partis communistes ou adversaires de ces derniers, ont combattu pour la liberté. Ces réquisitoires à sens unique, prononcés sur les ruines du " communisme réellement existant ", effacent du bilan des tragédies de ce siècle, l'histoire et la mémoire de toutes celles et de tous ceux qui ont lutté pour l'émancipation sociale. Ce livre, parce qu'il leur rend justice, est une contribution à ce bilan.