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1926. Un jeune docteur en philosophie de Budapest arrive à Paris pour quelques mois. Etranger à ce pays qui le fascine et le rejette à la fois, il évolue parmi d'autres étrangers qui, comme lui, survivent tant bien que mal. Récit initiatique, fabuleuse peinture de Paris, ce roman largement autobiographique est une troublante réflexion sur l'exil, autant réel qu'intérieur, qui a nourri la vie et l'oeuvre de Sándor Márai.
"Comme Zweig, Sandor Marai décrit avec une élégance rare le crépuscule pathétique d'une civilisation qui va être noyée sous les cendres du nazisme et du communisme" (La Vie).
avant-guerre, Paris
Il fut un temps où je goûtais ce genre de lecture, qui décrivait une époque révolue avec un côté bohème. Ce temps-là est révolu, il faut que je me rende à l'évidence.
Je me suis donc ennuyée tout au long de cette lecture qui, littéralement, "n'avance pas". Au point que l'on retrouve, en fin de volume, les mêmes comparaisons et les mêmes personnages.
Je n'avais déjà pas apprécié ma lecture du dernier roman de l'auteur "La soeur". Ce roman-çi est soit disant son meilleur. Je vais donc abandonné là cet auteur.
L'image que je retiendrai :
Le restaurant Julien chez qui il faut absolument manger.