Penseur multiforme, Alexandre Safran croyait avant tout en la sagesse universelle de la Torah, qui englobe toutes les pensées. Que ce soit lors de sermons synagogaux à l’occasion des fêtes juives, au cours d’allocutions à l’ORT (grand organisme philanthropique visant à donner aux juifs pauvres une
instruction professionnelle) ou dans des textes plus théoriques, il insiste sur le lien indissoluble qui unit les dimensions les plus élevées (mystique, kabbale) à celles apparemment les plus humbles (travail, rapport au prochain), le temps liturgique et le temps historique, etc.
Les nombreux textes rassemblés ici pour la première fois donnent à lire l’ampleur de cette pensée.
Penseur multiforme, Alexandre Safran croyait avant tout en la sagesse universelle de la Torah, qui englobe toutes les pensées. Que ce soit lors de sermons synagogaux à l’occasion des fêtes juives, au cours d’allocutions à l’ORT (grand organisme philanthropique visant à donner aux juifs pauvres une
instruction professionnelle) ou dans des textes plus théoriques, il insiste sur le lien indissoluble qui unit les dimensions les plus élevées (mystique, kabbale) à celles apparemment les plus humbles (travail, rapport au prochain), le temps liturgique et le temps historique, etc.
Les nombreux textes rassemblés ici pour la première fois donnent à lire l’ampleur de cette pensée.