Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Cette anthologie se propose d'évoquer à travers neuf nouvelles - quatre d'origine britannique et cinq françaises -, une première époque des détectives...
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Livré chez vous entre le 24 septembre et le 27 septembre
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Résumé
Cette anthologie se propose d'évoquer à travers neuf nouvelles - quatre d'origine britannique et cinq françaises -, une première époque des détectives des Ténèbres, allant de 1830 à 1910, où s'illustrent en particulier victoriens et tenants du spiritisme. Les détectives des Ténèbres n'ont pas toujours eu l'image qui les consacre aujourd'hui, celle de spécialistes de l'occulte agissant en vrais professionnels. Au début, le rôle était dévolu à des hommes en charge d'un savoir scientifique susceptible d'expliquer l'inexplicable. Apparurent alors les "médecins détectives" dont l'archétype est le Dr Hesselius de Sheridan Le Fanu. Sa nouvelle "Le Thé vert" figure ici dans la première traduction française de 1944, jamais reprise depuis. Ce texte emblématique est précédé par "Un spectre envahissant" et le "Le Chien spectral" du pionnier Samuel Warren. Son Docteur*** se frotte avec méfiance au surnaturel, tout comme le Dr Halifax de L. T. Meade et Clifford Halifax, héros de " L'Œil dans les ténèbres". Les premiers détectives des Ténèbres français naissent du spiritisme, à la mode en ce début de XXe siècle. Occultiste respecté, le Dr Heurtault d'Antoine Wylm est l'indispensable chaînon entre les " médecins détectives " et les " enquêteurs spirites ". Ses rivaux sont confrontés à un fantôme boiteux (le Dr Fulgence Raymond, de Jean Joseph-Renaud), une criminelle astrale (M. Benoît Chauvat, du même Joseph-Renaud), une vengeance de l'au-delà (Sâr Dubnotal), et une jeune vampire (Grand Pierre, de Jean Bouvier).