Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ce volume réunit quatre études, versions développées de quelques-uns des exposés faits lors d'un séminaire organisé au Collège de France en janvier...
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Résumé
Ce volume réunit quatre études, versions développées de quelques-uns des exposés faits lors d'un séminaire organisé au Collège de France en janvier 2001 par G. Fussman et J. Kellens. X. Tremblay, dans " Gram-maire comparée et grammaire historique : quelle réalité est reconstruite par la grammaire comparée ? ", fait une analyse épistémologique des méthodes et résultats atteints par la grammaire comparée, en partie pour montrer aux archéologues et historiens la façon dont ils peuvent utiliser les résultats atteints par deux siècles de recherches érudites, points forts et points faibles, certitudes et spéculations. L'étude de G. Fussman, " Entre fantasmes, science et politique : l'entrée des Aryas en Inde ", recense de façon critique les données et controverses contemporaines sur ce sujet. J. Kellens, dans " les Airiia- ne sont plus des Aryas : ce sont déjà des Iraniens ", étudie le mot avestique airiia-. Il montre qu'il est étroitement lié aux mythes sur l'origine des Iraniens et devrait donc être traduit par " Iranien ". Comme le védique arya- ne désigne pas l'ensemble des populations de langue indo-aryenne entrant en Inde, arya-/airiia- ne peut être considéré comme le nom que se donnaient, avant leur séparation, les populations de langue(s) indo-iranienne(s) et encore moins comme une appellation générique des Proto-Indo-européens. L'article de H.-P. Francfort, " la civilisation de l'Oxus et les Indo-Iraniens et Indo-Aryens ", est une mise au point de première main sur ce que les archéologues anglo-saxons appellent le BMAC (Bactro-Margian Archaeological Complex), c'est-à-dire la civilisation matérielle et - dans la mesure où on peut les restituer les croyances des peuples habitant le Turkménistan, l'Ouzbékistan du sud et l'Afghanistan du nord au moment où les Indo-Iraniens sont censés être passés dans ces territoires, devenus iraniens dès la fin du 2e millénaire avant n.è.