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"Alice se décida à reparler du naufrage : On ne peut reprocher à qui que ce soit de fuir la misère et la mort. Le monde est fait de migrations. Depuis la nuit des temps, l'homme s'est déplacé. A plus forte raison pour se nourrir. Et aujourd'hui aussi pour fuir les bombes. J'aimerais tant que soient abolies les frontières. Nous sommes tous sur la même planète, non ? Quand avons-nous perdu la sagesse ? Si tant est que nous l'ayons connue.
C'est un fait de société, cette migration d'êtres humains, évidemment. Mais moi, ça me met en colère". Des enfants nés aux quatre coins du monde, le jour du solstice d'hiver, sont-ils connectés ? Faire se côtoyer le réel et l'improbable, c'est bien ce que l'on peut s'autoriser lorsqu'on raconte une histoire, non ?