Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La grève a démarré durement : 1 mort, un camion de chèques détourné. Mo se prend à rêver à Mai 68. Mais l'Histoire ne repasse jamais les plats....
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Résumé
La grève a démarré durement : 1 mort, un camion de chèques détourné. Mo se prend à rêver à Mai 68. Mais l'Histoire ne repasse jamais les plats. Mo est un rêveur et un idéaliste il ne sait pas encore que son seul avenir : c'est le salariat et produire toujours plus pour " l'amour " d'une nouvelle maîtresse : l'entreprise. Mo n'a pas tout vu : la Gôchunie au pouvoir, le consensus, les post-modernes, les grands équilibres économiques, la Bourse, les socialistes-soft, la mondialisation de l'économie, l'Euro et la droite civilisée. Exit le prolétariat ! " Il faut que tout change pour que tout reste pareil " Giuseppe Tomasi di Lampedusa. Dans cette fiction policière, le héros tente d'échapper à la grisaille de la vie quotidienne codifiée totalement consensuelle. Cette tranche d'histoire sociale, fort bien documentée, - Jorge Valero travaillait au centre de tri de Lyon, - pose la question qui mine tout prolétaire : allons-nous vers la décomposition sociale ? Reste-t-il une place pour la révolte sociale ? Jorge Valero affectait un air désenchanté par la vie, mais il cachait une grande connaissance de la littérature, de la politique, du mouvement ouvrier et du cinéma, "Vidé " de tous les syndicats, il était l'auteur de plusieurs ouvrages. Dans un bien-être sûr, La Méditerranée traversait la France, il foisonnait d'idées, de projets, de révoltes. Jorge Valero est mort au printemps 1990 - sûr que le mouvement social de décembre 1995 lui aurait plu...