Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ecrites pendant les dix-huit derniers mois de la vie de Wittgenstein et rassemblées après sa mort sous le titre Bemerkungen über die Farben, ces notes...
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Résumé
Ecrites pendant les dix-huit derniers mois de la vie de Wittgenstein et rassemblées après sa mort sous le titre Bemerkungen über die Farben, ces notes visent à mettre au clair la "logique des concepts de couleur".
Soulignant la nécessité de distinguer les couleurs des surfaces de celles des matières, mais aussi les couleurs éclairantes des couleurs éclairées, l'analyse wittgensteinienne ne cesse de faire paraître, le long d'un débat avec Goethe et d'une interrogation de la transparence, la complexité de cette logique que ne soupçonne même pas notre stupidité quasi "bovine", pour finalement mettre en cause l'idée même de théorie.
S'adressant en priorité au peintre, les Remarques sur les couleurs découvrent la question de la couleur comme "problème phénoménologique", ce en quoi elles constituent un aspect décisif de la toute dernière étape du cheminement wittgensteinien. Car s'il est vrai que l'approche phénoménologique des questions qui est ici mise en oeuvre évacue l'idée même de données phénoménologiques, la thématique de la couleur ne saurait manquer de nous livrer accès à ce que les jeux de langage s'approprient en le découvrant.