C’est l’histoire de Tomas Kusar. Mais ce n’est pas l’histoire de Tomas Kusar.
C’est l’histoire d’un pays, la Tchécoslovaquie, et de son peuple serré dans l’étau de la surveillance et du contrôle. C’est l’histoire de ces hommes et de ces femmes qui croient en un avenir meilleur, c’est l’histoire des luttes clandestines, souterraines. L’histoire de ceux qui se battent contre l’emprisonnement des consciences.
C’est l’histoire du grondement sourd d’une population qui cherche à se libérer des emprises de fer, c’est l’histoire d’une politique à bout
de souffle que viennent chahuter les révolutionnaires nécessaires à tout système.
C’est l’histoire des commencements. Des premiers remuements d’une nouvelle éthique, c’est l’histoire de ceux qui prennent position quitte à prendre des coups.
C’est l’histoire de Vaclav Havel et de tant d’autres. Des ouvriers strangulés, des partis en pleine dégénérescence. Des petites voix qui cherchent à faire entendre leur clameur dans le vacarme des voix tonitruantes de l’Etat et des forces en place.
C’est l’histoire d’un monde, le nôtre, celui d’hier, celui d’aujourd’hui.
C’est l’histoire de ce que l’on veut et de ce que l’on ne veut pas. C’est l’histoire d’une libération.
Non, l’histoire de Tomas Kusar n’est pas l’histoire de Tomas Kusar, c’est notre histoire écrite avec la grande hache des cœurs qui ne lâchent pas, des petits cœurs qui battent dans le grand cœur du monde.
Antoine Choplin est un écrivain de l’intime universaliste et son livre, ce bel écho de notre volonté de vivre, d’exister soudés les uns aux autres.
Quelques jours dans la vie de Tomas Kusar
C’est l’histoire de Tomas Kusar. Mais ce n’est pas l’histoire de Tomas Kusar.
C’est l’histoire d’un pays, la Tchécoslovaquie, et de son peuple serré dans l’étau de la surveillance et du contrôle. C’est l’histoire de ces hommes et de ces femmes qui croient en un avenir meilleur, c’est l’histoire des luttes clandestines, souterraines. L’histoire de ceux qui se battent contre l’emprisonnement des consciences.
C’est l’histoire du grondement sourd d’une population qui cherche à se libérer des emprises de fer, c’est l’histoire d’une politique à bout de souffle que viennent chahuter les révolutionnaires nécessaires à tout système.
C’est l’histoire des commencements. Des premiers remuements d’une nouvelle éthique, c’est l’histoire de ceux qui prennent position quitte à prendre des coups.
C’est l’histoire de Vaclav Havel et de tant d’autres. Des ouvriers strangulés, des partis en pleine dégénérescence. Des petites voix qui cherchent à faire entendre leur clameur dans le vacarme des voix tonitruantes de l’Etat et des forces en place.
C’est l’histoire d’un monde, le nôtre, celui d’hier, celui d’aujourd’hui.
C’est l’histoire de ce que l’on veut et de ce que l’on ne veut pas. C’est l’histoire d’une libération.
Non, l’histoire de Tomas Kusar n’est pas l’histoire de Tomas Kusar, c’est notre histoire écrite avec la grande hache des cœurs qui ne lâchent pas, des petits cœurs qui battent dans le grand cœur du monde.
Antoine Choplin est un écrivain de l’intime universaliste et son livre, ce bel écho de notre volonté de vivre, d’exister soudés les uns aux autres.