En cours de chargement...
"Dès le milieu du XIXe siècle, le Val-André attira, pour de courtes périodes, voire pour la journée, quelques familles bourgeoises ou aristocratiques de Lamballe, de Loudéac ou de Saint-Brieuc; elles s'installaient chez l'habitant afin de s'adonner aux bains de mer et de participer aux plaisirs de la pêche. Nommé "grève Saint-Symphorien", le Val-André n'était qu'une étendue de sable abritée des vents du nord par la falaise de Château-Tanguy; les habitants venaient faire paître leurs moutons dans les dunes, là où s'élève aujourd'hui la station balnéaire de la Côte de Penthièvre".
Michel Grimaud nous entraîne dans une promenade enchanteresse, à travers près de 200 cartes postales du début du XXe siècle. A la Belle Epoque, le port de Dahouët voit la fin des goélettes et des terre-neuvas tandis que la toute nouvelle station balnéaire de Val-André se couvre de villas. Pêche au Verdelet, tennis, bains de mer ; les premiers touristes découvrent en Pléneuf la destination pleine de charme qu'elle est encore aujourd'hui.