Pensées - Livres VII-XII - Poche

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 Marc Aurèle - Pensées - Livres VII-XII.
Ni confessions ni journal intime, mais plutôt dialogue avec lui-même, les Pensées de l'empereur Marc Aurèle (121-180 après J.-C.) sont un document... Lire la suite
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Résumé

Ni confessions ni journal intime, mais plutôt dialogue avec lui-même, les Pensées de l'empereur Marc Aurèle (121-180 après J.-C.) sont un document humain exceptionnel. Inspirées des principes du stoïcisme, ces méditations pleines de sagesse révèlent un homme en proie au doute qui cherche la paix intérieure . Un examen de conscience étonnamment moderne à lire et à relire.

Caractéristiques

  • Date de parution
    10/05/2007
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-07-034551-9
  • EAN
    9782070345519
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    124 pages
  • Poids
    0.085 Kg
  • Dimensions
    11,0 cm × 18,0 cm × 0,7 cm

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L'éditeur en parle

Ni confessions, ni journal intime, mais plutôt dialogue avec lui-même, les Pensées de l'empereur Marc Aurèle (121-180 après J. -C.) sont un document humain exceptionnel. Un examen de conscience étonnamment moderne à lire et à relire.

À propos de l'auteur

Biographie de Marc Aurèle

Issu d'une famille italienne installée en Espagne, Marcus Annius Verus naît à Rome en 121. Très tôt intéressé par la philosophie, il découvre les idées d'Épictète et devient l'élève de Fronton, célèbre orateur romain, avec qui il entretient une longue correspondance. Après la mort de son père, il devient le protégé de l'empereur Hadrien qui le fait adopter par son fils, Antonin le Pieux. Il prend alors pour nom Marcus Aelius Aurelius Verus et épouse sa cousine, Faustine la Jeune, dont il aura de très nombreux enfants. Elle l'accompagne sur les champs de batailles et les soldats la surnomment Mater castrorum (la Mère des camps). Il sera profondément affecté lorsqu'elle mourra en 176. Ses qualités humaines et son excellente éducation en font le successeur tout désigné d'Hadrien, mais, trop jeune, il doit attendre la mort d'Antonin en 161 pour monter sur le trône qu'il partage avec son frère adoptif Lucius Verus jusqu'en 169. Pendant son règne, malgré son dégoût de la violence, il doit sans cesse défendre l'Empire contre les Barbares. Les troupes romaines accumulent les victoires et annexent la Mésopotamie et l'Arménie. Les Barbares sont repoussés aux frontières. Il meurt en 180 sur le front du Danube, probablement de la peste, laissant l'Empire aux mains de son fils Commode. Stoïcien, il a fait de sa vie une philosophie pratique qu'il a exposé dans ses Pensées pour moi-même, écrites lors de ses expéditions.

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