Oneïros ou La belle lurette - Poche

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André Hardellet - Oneïros ou La belle lurette.
" Mon bouquin intitulé Oneïros raconte d'abord l'histoire d'un garçon qui cherche avec obstination - puérile si l'on veut : il a vingt ans - ce qu'il... Lire la suite
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Résumé

" Mon bouquin intitulé Oneïros raconte d'abord l'histoire d'un garçon qui cherche avec obstination - puérile si l'on veut : il a vingt ans - ce qu'il y a derrière les apparences. Puis il comprend une suite de mélanges - je ne sais trop comment appeler cela, ce ne sont pas exactement des poèmes en prose - composés plus tard par le narrateur lorsqu'il possède assez de recul et de lucidité pour faire le bilan de ses souvenirs, de ses rêves : virées en banlieue et dans les bals musette, contact avec l'insolite, figures des années de "la belle lurette", descriptives de songes, paysages qui s'emboîtent soudain dans l'irréel. [...] Je ne sais pas si tout ça tient debout : je sais simplement qu'il me fallait fixer certaines images sur les plaques sensibles de l'imagination [...] " Cet ouvrage est composé de vingt-trois textes, dont onze sont inédits.

Caractéristiques

  • Date de parution
    12/06/2001
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    2-07-076177-0
  • EAN
    9782070761777
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    150 pages
  • Poids
    0.155 Kg
  • Dimensions
    12,5 cm × 19,0 cm × 0,9 cm

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L'éditeur en parle

Un recueil de vingt-trois textes de prose poétique, dont onze sont inédits.

À propos de l'auteur

Biographie d'André Hardellet

Né à Vincennes le 13 février 1911, André Hardellet vit les six premières années de son enfance dans la maison de sa grand-mère, rue de Fontenay. En 1918, ses parents, qui dirigent une fabrique de bijoux - " Les alliances Nuptia " -, s'installent rue Beaubourg, à Paris. Excellent élève des lycées Montaigne et Louis-le-Grand, il entreprend des études de médecine qu'il abandonne pour entrer dans l'entreprise familiale en 1933. Durant toutes ces années, il mène une double vie, découvrant Paris, sa banlieue, les bords de Marne, les champs de courses, mais aussi Marcel Proust, Arthur Rimbaud, Gérard de Nerval. Il écrit à partir de 1939. La rencontre décisive est, en 1947, celle de Pierre Mac Orlan, qui lui fait publier ses premiers textes dans la revue La Bouteille à la mer (1950). L'écrivain est né qui, dès lors, va faire alterner recueils de poèmes et romans : La cité Montgol (1952), Le luisant et la Sorgue (1954), Le seuil du jardin (1958) auquel André Breton rendra hommage, Sommeils (1960), Le parc des Archers (1962), Les chasseurs (1966) qui lui vaudra l'estime de Julien Gracq. En 1969, la parution de Lourdes, lentes... sous le pseudonyme de Steve Masson le conduira devant les tribunaux pour " outrage aux bonnes mœurs ". Puis viendront Lady Song Solo (1971), Les chasseurs Deux (1973, prix des Deux-Magots), Donnez-moi le temps (1973). En 1974, André Hardellet termine la préface de Paris, ses poètes, ses chansons et La promenade imaginaire. Pour la télévision, il commence les dialogues de l'adaptation des Chasseurs Deux et travaille à son prochain roman, L'arrière-pays, ouvrages qui resteront inachevés. Le mercredi 24 juillet, malgré les soins d'un ami médecin qu'il a appelé, il meurt à deux heures du matin. La promenade imaginaire paraîtra en août 1974. Hubert Juin lui consacrera un des volumes de la collection " Poètes d'aujourd'hui " (1975). L'essuyeur de tempêtes et L'oncle Jules, ouvrages posthumes, paraîtront en 1979 et 1986. Auteur de chansons, André Hardellet est connu du grand public pour la plus célèbre d'entre elles : Bal chez Temporel.

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