Niet camarade est le deuxième tome d'une série de romans policiers qui se déroulent dans un commissariat d'un pays de l'Est de la fin de la deuxième guerre mondiale jusqu'à la chute du mur de Berlin.
On y retrouve donc, huit ans après, les protagonistes de Cher camarade. Le chef de la milice Moska, Stéfan, Léonek qui vient de perdre sa mère, Emil Brod qui a épousé la riche et alcoolique Léna, Brano Sev l'agent de la Sécurité assisté d'un inquiétant émissaire de Moscou et Ferenc Kolyeszar dont le premier roman a été publié et qui se débat entre les affres de la page blanche
et des soucis conjugaux.
J'ai beaucoup aimé cette histoire racontée à la première personne par Ferenc. Outre l'enquête policière c'est surtout l'ambiance particulière de l'Est qui est très bien dépeinte. On se retrouve derrière le rideau de fer où l'individu n'est rien comparé à la sécurité de l'Etat, où chacun est sous surveillance et peut disparaître si il gêne un supérieur.
A lire pour se souvenir du temps de la guerre froide et se rappeler qu'il existe encore aujourd'hui de tels régimes totalitaires.
Enquête derrière le rideau de fer
Niet camarade est le deuxième tome d'une série de romans policiers qui se déroulent dans un commissariat d'un pays de l'Est de la fin de la deuxième guerre mondiale jusqu'à la chute du mur de Berlin.
On y retrouve donc, huit ans après, les protagonistes de Cher camarade. Le chef de la milice Moska, Stéfan, Léonek qui vient de perdre sa mère, Emil Brod qui a épousé la riche et alcoolique Léna, Brano Sev l'agent de la Sécurité assisté d'un inquiétant émissaire de Moscou et Ferenc Kolyeszar dont le premier roman a été publié et qui se débat entre les affres de la page blanche et des soucis conjugaux.
J'ai beaucoup aimé cette histoire racontée à la première personne par Ferenc. Outre l'enquête policière c'est surtout l'ambiance particulière de l'Est qui est très bien dépeinte. On se retrouve derrière le rideau de fer où l'individu n'est rien comparé à la sécurité de l'Etat, où chacun est sous surveillance et peut disparaître si il gêne un supérieur.
A lire pour se souvenir du temps de la guerre froide et se rappeler qu'il existe encore aujourd'hui de tels régimes totalitaires.