Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Fabio Jacovetti, commandant à la brigade criminelle de Paris, est fatigué. Il a arrêté de boire, de fumer, il s'est même remis au jogging, mais cela...
Lire la suite
18,80 €
Neuf
Expédié sous 3 à 6 jours
Livré chez vous entre le 15 mai et le 18 mai
En librairie
Résumé
Fabio Jacovetti, commandant à la brigade criminelle de Paris, est fatigué. Il a arrêté de boire, de fumer, il s'est même remis au jogging, mais cela ne suffit pas à faire revenir Claire, sa femme. Lorsqu'il arrive sur les lieux du crime, il tombe sur un assassin peu ordinaire. Le tueur a poignardé sa victime sur son lieu de travail, un homme d'une cinquantaine d'années, patron d'un GIE, puis il lui a cousu les lèvres au point de croix. Commence alors la traque de celui que Fabio et son équipe de cinq enquêteurs appellent " le couturier ". " Ils ont du souci à se faire " : voilà ce que pense le tueur en regardant, de loin, les policiers s'agiter sur la scène du crime. Beaucoup de souci, car la victime n'est que la première d'une longue série. L'assassin est bien décidé à s'attaquer aux tyrans, aux patrons qui abusent de leur pouvoir sur leur petit personnel. Les meurtres se succèdent alors, portant tous cette même signature la couture des lèvres... Un polar noir, très noir sur le harcèlement moral dans l'entreprise.
Après avoir été rédactrice dans des revues d'entreprise, Bénédicte des Mazery se consacre aujourd'hui à l'écriture journalistique et romanesque. Les morts ne parlent pas est son deuxième roman.