Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
On aurait tort d'imaginer que les Grecs de l'Antiquité consacraient tout leur temps à leurs devoirs et qu'ils ignoraient les divertissements individuels...
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Résumé
On aurait tort d'imaginer que les Grecs de l'Antiquité consacraient tout leur temps à leurs devoirs et qu'ils ignoraient les divertissements individuels ou collectifs. Le matériel archéologique et la littérature grecque - dont
nous présentons ici quelques extraits - apportent un démenti formel a cette conception abstraite du passé. Volontiers buveurs, chanteurs, musiciens, les Grecs aimaient jouer et même tricher, flâner sur les marchés ou les places publiques, et poursuivre d'interminables conversations sur tous les sujets possibles. Le sport et le théâtre tenaient aussi une grande place dans leur vie. Ce serait pourtant une erreur, à l'inverse, d'abolir toute différence entre eux et nous. Si les hommes n'ont guère changé, les sociétés sont distinctes : les petites communautés antiques ne connaissaient ni la laïcité, ni l'individualisme modernes, d'où le caractère quasi rituel de leurs loisirs. D'autre part, la philosophie occupait une place éminente dans une société où l'on n'accordait pas la moindre valeur au travail, réservé aux esclaves. L'idéal des philosophes, c'était le loisir consacré à 1'épanouissement de l'esprit et du corps, à la recherche du Souverain Bien.