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À découvrir
Une formidable explosion de poudre, de personnages hauts en couleurs, de références rock et cinéphages.
Santa Mondega est la ville la plus dangereuse du monde. Le Bourbon Kid y a décimé un bar, à la recherche d’une pierre convoitée par tous les malfrats. Cinq ans après, la pierre réapparaît et les lecteurs d’un livre sans nom se mettent à mourir.
Alliant avec une saveur épicée le polar noir et le western maudit, ce roman est un furieux engrenage rythmé par un humour jouissif et une originalité rare.
Un thriller déjanté dans la capitale de la dépravation, où Elvis Presley est un tueur à gages et où il ne fait pas bon être étranger.
Il y a 5 ans, le Bourbon Kid a ravagé la ville. Maintenant, il revient...Des moines experts en arts martiaux, un barman « courageux » et une mystérieuse amnésique complètent ce tableau digne des plus grands fans de Guillermo Del Toro !
Il était une fois à Santa Mondega, ville perdue d'Amérique latine, des moines guerriers, un peu stupides, qui recherchaient un pendentif surnaturel, quelques chasseurs de primes amateurs, un tueur en série (Bourbon Kid), un agent spécial (le modèle Mulder), un couple qui s'aime beaucoup (et du coup souvent excité), un patron de bar miteux (le Tapioca) qui connait tout le monde, un Elvis tueur professionnel, un mystérieux livre sans nom et quelques créatures diaboliques pour donner un léger gout pimenté.
Rajoutez à cela un rythme effréné et vous obtiendrez une histoire plutôt
séduisante et kitch à souhait. Le Livre sans nom est objet de discussions : certains y voient une imposture, quand d'autres le considèrent comme un chef d'œuvre du genre... A lire donc.
Mélange de thriller et de fantastique, ce roman n’est pas comme les autres. Santa Mondega est une ville assez étrange ou grouille une faune pas très recommandable d’escrocs, de trafiquants et de chasseurs de primes tous plus violents les uns que les autres. La police est complètement débordée par la multitude de criminels et d’exactions en tous genres commises par ses habitants. Les bars miteux alternent avec les motels crasseux et pour ternir encore un peu le tableau, un serial killer sévi aussi dans cette charmante bourgade. si vous voulez savoir à quoi ressemble la lecture de ce livre, regardez Kill Bill ou encore mieux, une nuit en enfer de Rodriguez. L’hémoglobine coule à flots et le fantastique n’est jamais très éloigné. C’est excessif, pas très sérieux et bourré d’humour. Un pur divertissement ! J’adore !
J'avais envie de le lire depuis longtemps. Je suis content que ce soit chose faite. Le livre sans nom aura tenu son rôle de divertissement, je ne me suis pas ennuyé une seconde. Ceci-dit, j'en attendais plus. Je ne sais pas vraiment quelle a été la coquille. Malgré des passages violents, peut-être m'a-t-il manqué de la maturité dans le récit. Peut-être était-ce trop déjanté et les personnages trop caricaturales. En fait je crois que c'était tout simplement trop de folie pas sérieuse à mon goût. Je lirai le deuxième mais je ne suis pas pressé.
Intriguée par ce roman paru anonymement sur internet en 2007, Le livre sans nom avait tout pour plaire : un récit déjanté, des personnages hauts en couleur, des rebondissements en cascade...
Mais malgré ses atouts, le livre peine à trouver une cohérence d'ensemble et à faire de ses personnages des être attachants. Une surenchère malheureuse qui finit par ne plus servir le propos et en faire un récit creux et incohérent, peuplé de personnages antipathiques. Un bel hommage au 7ème art (Tarantino en tête) et de nombreux clins d'oeil à des écrivains de genre, comme Stephen King,
ne parviendront pas à sauver ce roman brouillon et démonstratif.
Peut-être qu'une édition de cette oeuvre n'était pas vraiment nécessaire... Mais le coup marketing est cependant à saluer.
http://art-enciel.over-blog.com/2014/08/le-livre-sans-nom-de-anonyme.html
Un livre sans nom, publié par un auteur anonyme, et qui en plus est à la fois le titre du livre et son principal sujet.....Voilà qui déjà peut intriguer le futur lecteur. Car ce livre a bien été publié par un auteur anonyme sur internet, puis repéré par un éditeur judicieux. Les suppositions vont bon train quant à l'identité de cet auteur.....Qui a eu suffisamment de génie et d'audace pour mélanger des genres aussi différents que western, Kung Fu, crimes et fusillades, gore, surnaturel, vampires et morts vivants ? Car Le Livre Sans Nom, c'est tout cela à la fois et bien plus
encore.
L'action se déroule à Santa Mondega, une petite ville d'Amérique du Sud qui a pour particularité d'être à la fois la ville la plus dangereuse du monde et le lieu, tous les cinq ans, d'une éclipse totale de soleil. La ville est alors envahie par la pègre venue de partout et par les forces du mal. Cinq ans avant le début de l'histoire, un homme encapuchonné et armé jusqu'aux dents a fait son apparition : Le Bourbon Kid, surnommé ainsi parcequ'un verre de bourbon suffit à le déchaîner. Après son passage, la ville comptait au moins 300 morts. Une seule de ses victimes a survécu et après un long coma, elle se réveille amnésique....Cinq ans après la première apparition du Bourbon Kid, plusieurs personnages hauts en couleur se retrouvent à Santa Mondega : tous veulent s'approprier l'oeil de la lune, une pierre précieuse qui selon la légende permet à son propriétaire de se rendre maître de la lune. La terre pourrait ainsi selon le bon vouloir de ce personnage, être plongée dans une nuit éternelle.
Dès le début de la lecture, j'ai eu l'impression de regarder un film, enfin plusieurs films à la fois tellement les références y sont nombreuses et diverses. Les personnages sont taillés à la hache, presque des caricatures de héros de cinéma, les situations sont poussées à l'extrême, l'histoire part dans tous les sens, on sent que l'auteur ne s'est donné aucune limites. On est sans cesse surpris par les nombreux rebondissements, par les descriptions et les agissements des personnages tous plus déjantés les uns que les autres. Finalement on renonce à distinguer les bons des méchants : dans cet univers improbable, tout le monde a quelque chose à se reprocher.
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre, ce n'est pas de la grande littérature, j'ai même été parfois agacée par la crudité de certains dialogues et les répétitions, mais l'auteur a su littéralement m'emporter dans son délire. J'ai beaucoup apprécié son humour et cette lecture m'a fait passer des moments vraiment jouissifs. A partir du moment où j'ai passé la porte du bar "Le Tapioca", je n'ai pu en sortir qu'à la fin du récit, impatiente de lire la suite : L'Oeil de la Lune. Il ne faut surtout pas aborder ce livre de manière sérieuse mais s'armer d'une bonne dose d'humour et de second (voire troisième) degré. Ce n'est pas du tout ce qu'on pourrait appeler "un bon polar". Il ne rentre dans aucune catégorie : un ovni !!!
Une référence sans aucun doute, un livre tellement bien construis et écrit que l'absurdité de certains faits n'étonnent même pas. On sort complètement du genre, j'adore!
Bilan en quelques mots
Les mots pour : délirant, rythmé, références pop-rock.
Les mots contre : sensation par moment d'un grand n'importe quoi, style.
Au final
Ce livre est purement addictif ! Humour, références cinématographiques, rythme, écriture très visuelle (donc assez gore, quand même) et un brin de fantastique, on frôle le coup de cœur.
Le livre sans nom, est un livre atypique, où l'auteur s'est amusé à mélanger les genres, et les caricatures. Certains lecteurs le compare à du Tarantino, je leur laisse bien volontiers ce rapprochement, pour ma part, je suis totalement inculte dans le 7e art.
L'action se déroule à Santa Mondega, ville oubliée de tous, "même pas inscrite sur les cartes", "c'est la ville du mal", ici tous les vices se côtoient.
Les personnages sont hétéroclites, on y rencontre des cow-boys, des sosies de rock-star, un serial killer que le whisky rend fou, des moines style shaolin. On n'est même
pas surpris d'y croiser des anges et des vampires.
Tout ce petit monde court après une pierre de lune qui appartient aux moines, et qui ont la manie de se la faire voler tous les cinq ans, au moment de la fête de la lune. Car Santa Mondega est également la ville où il y a le plus d'éclipses.
Pendant que tous, se croisent, se tirent dessus, et dans les pattes. Un sérial killer tue, tenez-vous bien, tout ceux qui sont entrés en contact avec un certain livre sans nom, écrit par un auteur anonyme. Eh oui !
Bref, ce livre loin d'être un grand thriller, est un excellent "livre", je n'arrive même pas à le mettre dans une catégorie quelconque. Il est parfait pour détendre, les fou rire sont nombreux, le style peu recherché et fluide, ses quatre cent et quelques pages s'avalent comme une bouchée de pain.
Personnellement, je ne me suis attachée à aucun des personnages, de toutes les manières, c'est inutile, il se fond descendre pratiquement comme des quilles, dans un jeu du même nom.
En conclusion :
Un très bon livre, agréable à lire, bourré d'humour un côté Nadine Monfis l'hémoglobine en plus. Ce fut presque un coup de cœur, il ne manquait pas grand chose.
Ça au moins, c'est du roman différent ! Bon, la 4e de couverture annonce un peu trop clairement la couleur peut être : effectivement, on se croirait dans Une nuit en enfer (scénarisé par Tarantino) et c'est bourré de références cinématographiques en tout genre. Mais ça a beau être clairement visuel comme livre, c'est vraiment bien fichu.
Au début, on peut se croire dans un western classique : une ville d'Amérique du Sud, la chaleur étouffante, plein de malfrats allant de la petite frappe au plus abominable des tueurs en série. Les personnages sont tous de gros durs, chacun avec
son caractère et son but propre. Ils sont tous ici pour la Fête de la lune qui a lieu au moment d'une éclipse de soleil à Santa Mondega. Mais aussi pour l’œil de la lune, une pierre aux pouvoirs mystérieux que tous semblent convoiter. Jefe, le chasseur de primes, a été engagé par El Santino, le parrain local, toujours encadré par ses 2 molosses Miguel et Carlito. Elvis est un tueur à gages engagé par Sanchez, le patron du pire bouge du coin. Kyle et Peto sont deux moines spécialistes des arts martiaux envoyés en ville pour retrouver la pierre. Dante et Kacy ne sont que des voleurs. Et sur tout ce petit monde plane l'ombre menaçante du Bourbon Kid.
Bien vite, il est difficile de poser ce livre. L'ambiance vous tient, l'envie de comprendre aussi, mais surtout l'envie de recroiser ces personnages dont il est pourtant difficile de dire lequel j'ai préféré.
Ça canarde de partout, ça sort son flingue pour un rien, ça jure, fume, picole. Les descriptions sont sanglantes et trash mais bourrées d'humour, qui allège merveilleusement le tout. Et puis, un enquêteur très spécial envoyé par le gouvernement arrive sur les lieux et l'histoire prend une toute autre direction : on nous parle alors de vampires, de Seigneur des Ténèbres... Tout ce petit monde crée un univers unique et fort. Chaque personnage est plus taré que le précédent, cliché à souhait, mais c'est parfaitement assumé par l'auteur dès le début.
Alors, si bémol je devais mettre, ce serait peut être sur le titre, car au final il n'est que peu question de ce Livre sans nom, dont on apprend quasi rien ! Pour le reste, c'est jouissif, tout simplement et j'ai hâte de lire la suite !
http://nourrituresentoutgenre.blogspot.fr/2012/02/le-livre-sans-nom-anonyme.html
Une multitude de personnages, une ville bizarre, des meurtres à tout va, une histoire rocambolesque à la Tarantino. Bref, le genre de scénario qui m'ennuie. Et pourtant, j'ai fini par entrer dans l'histoire sans pouvoir m'en détacher dès qu'est apparu le côté obscure des principaux personnages. Le mélange serial killer et fantastique, donc le mystère, donne tout son intérêt au roman si on arrive à passer au-delà du style décousu de l'histoire. Un roman que je conseille de lire pour la curiosité qu'il suscite : couverture sombre, sans nom et anonyme. Quand à lire la suite, je ne sais pas...peut être....
Un total et réel coup de coeur pour ce livre plus qu'étonnant. J'ai totalement adoré, accroché je n'ai pas su m'arrêter. Il n'a pas fait long feu. J'avoue m'y être prise à deux fois vu le nombre de personne qui intervient dans le livre mais je ne regrette pas cette lecture au contraire, je me suis, à la suite de ça, précipitée chez mon libraire pour acheter la suite!
Je le recommande vivement!
Un livre vraiment intéressant a lire, la synopsis vous parle de vampire et de loup garou mais lorsque vous prenez le livre vous découvrez un polar qui vous emmène plus loin .
Vous entrez dans un monde ou au fur et à mesure que vous lisez vous acceptez les évènements comme étant logique.
Vu le résumé au dos du livre, je pensais que j'allais l'aimer. Dès que j'ai vu vampire, loup garou, .... alors là j'ai vraiment été très déçue. De plus, je trouve que l'histoire traine trop en longueur, trop de gens se font tuer et on se demande bien s'il va en rester un à la fin pour que l'histoire continue.
Le livre est classé dans la catégorie thriller, mais au fur et à mesure de la lecture, il n'en a plus la place. Je regrette certaines répétitions de l'auteur, mais pour celui qui a du mal à suivre le fil de l'histoire, peut être est-ce nécessaire.
La fin est surprenante, mais je ne peux en dire plus.
Je vais essayer de me procurer "L'Oeil de la Lune" qui pourrait donner davantage d'explications sur la suite de ce roman.
J'ai dévoré les 4 tomes.J'ai adoré cet univers déjanté et le Bourbon Kid quel personnage!
Une histoire ou se mêlent des loups garous, des vampires et même Elvis Presley et la cerise John Lee Hooker.
Un roman policier mais avec de sacré tranches de rigolades et beaucoup d'hémoglobine. Âmes sensibles s'abstenir.
N’ayant aucune référence cinématographique ni littéraire à ce sujet, je découvre ce livre recommandé par Violaine (notre charmante bibliothécaire).
Dès la première page, je monte mon propre film : le bar du Tapioca (référence aux divers coups de poings échangés et par conséquence dents tombées ????) sombre, glauque : Le Tapioca était un bar qui avait vraiment du caractère. « Ses murs étaient jaunes, et pas d’un jaune agréable : plutôt un jaunâtre de fumée de cigarette. ». Les consommateurs : « Dans ce bar, personne n’aimait les inconnus. Les inconnus n’apportaient
que des problèmes. On ne pouvait pas se fier à eux. »
Pour moi, cela devait se passer dans les années 60, cela seyait bien à ce bar de Santa Mondega, ville d’Amérique du Sud oubliée du reste du monde !!! Surtout lorsque arrive un homme totalement encapuchonné, un inconnu bien sûr, et, ce qui devait arriver….. Les démons sont lâchés. Et oui, car il y a des démons, des vampires, des voleurs, des tueurs, un sosie d’Elvis, Terminator, des moines champions en arts martiaux, des cow-boys, des policiers dignes ou indignes de ce nom et beaucoup d’autres. Ah oui, il y a bien sûr, l’histoire d’amour, mais, même là…..
M. Anonyme nous fait changer le décor lorsque se présente l’inspecteur Miles Jensen « inspecteur en chef des enquêtes surnaturelles » mandaté par le gouvernement des Etats-Unis d’Amérique avec son ordinateur !
Voilà le melting-pot délirant dans lequel je plonge. Outre la pléthore de « participants » l’action ne ralentit jamais, même pas le temps de reprendre son souffle. Le style direct et détaillé permet de bien visualiser les scènes. Un vrai travail de metteur en livre. Cela ferait un film de dingue, mais attention l’accumulation des scènes pourrait en faire un film de série Z.
Ça défouraille, ça tire, ça tue à chaque page et par lot, tant et si bien que je me suis demandée qui resterait à la fin…. Mais M. Anonyme a trouvé la parade pour avoir du vivant en fin de livre prêt pour le second opus.
L’auteur s’est lâché, a dû se régaler. Si vous cherchez un scénario une histoire bien ficelée, logique, lecteur, passe ton chemin. Si tu acceptes de te laisser porter des dialogues et un vocabulaire fleuri (à minima), une histoire déjantée et sans logique alors, ne boude pas ton plaisir, fais comme moi et tu passeras un sacré bon moment.
Je vais attendre le manque afin ne pas perdre mon enthousiasme pour la lecture du second tome.
Si je vous disais que je me moque de connaître l’identité de M. Anonymous ! Je pense même que cela me dérangerait.
J’oubliais, le livre sans nom dans le livre signe l’arrêt de mort de toute personne l’ayant lu. Vous vous ne risquez rien, sauf si vous êtes dans le livre sans nom dans le livre sans nom !!
Et oui, ça rend dingue un tel délire.
Sur ce, je vous souhaite une très bonne lecture jubilatoire.
Ce n’est pas le genre de roman que j’ai l’habitude de lire et, pourtant, j’ai choisi de me laisser tenter parce que je trouvais la quatrième de couverture carrément tentante.
Dès les premières pages, le lecteur rencontre une ambiance très particulière où les armes se croisent à tous les coins de rue et où les vivants sont déjà morts.
Les personnages sont presque tous masculins, comiques, totalement caricaturaux et à la psychologie plus que minimale. Enfin, disons plutôt : complètement cinglés et décalés. Ils sont également fort nombreux. Il faut compter sur le
Bourbon Kid, Sanchez, le patron du Tapioca Bar, Jefe, le chasseur de primes, El Santino, parrain de la mafia local, Elvis, tueur à gages (et sosie du King), Miles Jensen, le fameux inspecteur, Somers, policier obsédé par le Kid, Marcus la Fouine, les moines d’Hubal Kyle et Peto, Rodéo Rex, Jessica, Dante, Kacy…
Nombreux, certes, mais ils sont tous mémorables. Cependant, difficile de s’attacher à l’un d’eux puisqu’ils sont plus ou moins véreux et finissent, pour la majorité dans un bien sale état. En effet, chacun est la cible de quelqu’un d’autre et l’auteur semble adorer tuer les gentils (en admettant qu’ils existent…) et conserver la vie des enflures. D’ailleurs, au début du roman, on se dit qu’on va se perdre au milieu de ces personnages…et, à la fin, on se demande comment un second tome peut exister…
L’intrigue se résume avant tout par la recherche de l’identité du Bourbon Kid… C’est bien peu de chose face à toute cette hémoglobine.
En tout cas, coeur sensible s’abstenir… Ce roman, c’est tout sauf de la dentelle.
http://lireparelora.wordpress.com/2012/01/11/le-livre-sans-nom-anonyme/
Le Livre sans nom est une formidable explosion de poudre, de références rock et cinéphages, et d'une panoplie de personnages haut en couleurs.
L'écriture limpide et le suspens tenace vous empêcheront de lâcher ce livre avant la fin. Alliant avec une saveur épicée le polar noir et le western maudit, ce roman est un furieux engrenage rythmé par un humour jouissif et une originalité rare.
C'est très bizarre. De la première à la dernière ligne, je n'ai pas été emballée et pourtant, je l'ai lu jusqu'au bout, ce qui n'est pas dans mes habitudes. Peut-être simplement par curiosité envers cet ovni littéraire, qui m'a rappelé les romans de Philippe Le Roy, dans le style et dans l'action. Peut-être aussi parce que j'avais envie de savoir comment cette histoire alambiquée et tordue allait se terminer et si le héros faisait partie des gentils ou des méchants. Pour moi, ce roman est au moins moitié trop long et trop, c'est trop. Trop de personnages, trop de massacres auxquels on ne comprend rien, trop de revirements... Heureusement, c'est drôle. C'est finalement ce qui a sauvé ce livre à mes yeux ! ;-)
Un livre totalement délirant, déjanté. Sorte de mélange de polar, de western et de fantastique. On y trouvera des moines guerriers, des vampires, un tueur alcoolique, un livre interdit.
Malgré des scènes trash et beaucoup de sang, ce livre n'en est pas moins très drôle . On est pris dans un rythme affolant, plein de rebondissements avec des personnages complétement loufoques.
Il était une fois à Santa Mondega, ville perdue d'Amérique latine, des moines guerriers, un peu stupides, qui recherchaient un pendentif surnaturel, quelques chasseurs de primes amateurs, un tueur en série (Bourbon Kid), un agent spécial (le modèle Mulder), un couple qui s'aime beaucoup (et du coup souvent excité), un patron de bar miteux (le Tapioca) qui connait tout le monde, un Elvis tueur professionnel, un mystérieux livre sans nom et quelques créatures diaboliques pour donner un léger gout pimenté.
Rajoutez à cela un rythme effréné et vous obtiendrez une histoire plutôt séduisante et kitch à souhait. Le Livre sans nom est objet de discussions : certains y voient une imposture, quand d'autres le considèrent comme un chef d'œuvre du genre... A lire donc.