Dire que j'étais en vacance, je ne voulais pas faire de chronique mais La loi du plus faible m'a pris au dépourvu. Le sujet me touche, non pas que je sois un ancien SDF, ni un homme passant ses journées dans les actions humanitaires, ni un altruiste. Toutefois, je ne peux rester insensible au malheur d'autrui. Cet avocat, cet homme, ce Michael Brock était l'archétype de l'homme d'aujourd'hui. Miser sa vie sur son travail, l'orgueil qu'on en tire, amassant richesse et gloire au détriment des autres, que ce soit sa femme, ses amis et encore plus le commun des mortels. Pourtant un acte, la
prise d'otage de Monsieur va tout bouleverser. Ce Monsieur va ouvrir les yeux à Michael sur la misère des hommes, sur leurs faiblesses face aux plus forts. Notre jeune avocat va changer du tout au tout, il fera table rase de sa vie, de son avenir florissant pour un avenir moins glamour mais amplement plus enrichissant, sur le plan personnel tout du moins. Cela choque son entourage, qui est presque outré de le voir tout quitter pour les pauvres, il avait soi-disant tout pour être heureux. Mais l'argent amène-t-il le bonheur? Pourquoi devrait-on juger un homme selon son travail et son compte en banque plutôt que sur sa bonté humaine?
Je n'avais jamais lu de Grisham, grâce à ce titre je vais rattraper mon retard l'ayant vraiment adoré. J'ai vraiment aimé l'écriture, je la pensais plus compliquée mais il n'en ai rien, elle est très fluide, ça glisse tout seul. De plus l'histoire est vraiment prenante, on suit l'évolution de notre jeune avocat avec passion, et frayeur car le combat contre son ancien cabinet s'annonce âpre. Ce qui prend vraiment aux tripes est de se dire, à sa place comment aurai-je réagi?
Ce titre pose énormément de questions, les réponses peuvent varier selon les lecteurs mais le plus important est d'y réfléchir en toute honnêteté. J'ai aimé ma lecture, son héros, son auteur, son message, sa note d'espoir. En somme j'ai tout aimé, je crois qu'une longue pile de livres m'attende avec Grisham.
Ma découverte Grisham
Dire que j'étais en vacance, je ne voulais pas faire de chronique mais La loi du plus faible m'a pris au dépourvu. Le sujet me touche, non pas que je sois un ancien SDF, ni un homme passant ses journées dans les actions humanitaires, ni un altruiste. Toutefois, je ne peux rester insensible au malheur d'autrui. Cet avocat, cet homme, ce Michael Brock était l'archétype de l'homme d'aujourd'hui. Miser sa vie sur son travail, l'orgueil qu'on en tire, amassant richesse et gloire au détriment des autres, que ce soit sa femme, ses amis et encore plus le commun des mortels. Pourtant un acte, la prise d'otage de Monsieur va tout bouleverser. Ce Monsieur va ouvrir les yeux à Michael sur la misère des hommes, sur leurs faiblesses face aux plus forts. Notre jeune avocat va changer du tout au tout, il fera table rase de sa vie, de son avenir florissant pour un avenir moins glamour mais amplement plus enrichissant, sur le plan personnel tout du moins. Cela choque son entourage, qui est presque outré de le voir tout quitter pour les pauvres, il avait soi-disant tout pour être heureux. Mais l'argent amène-t-il le bonheur? Pourquoi devrait-on juger un homme selon son travail et son compte en banque plutôt que sur sa bonté humaine?
Je n'avais jamais lu de Grisham, grâce à ce titre je vais rattraper mon retard l'ayant vraiment adoré. J'ai vraiment aimé l'écriture, je la pensais plus compliquée mais il n'en ai rien, elle est très fluide, ça glisse tout seul. De plus l'histoire est vraiment prenante, on suit l'évolution de notre jeune avocat avec passion, et frayeur car le combat contre son ancien cabinet s'annonce âpre. Ce qui prend vraiment aux tripes est de se dire, à sa place comment aurai-je réagi?
Ce titre pose énormément de questions, les réponses peuvent varier selon les lecteurs mais le plus important est d'y réfléchir en toute honnêteté. J'ai aimé ma lecture, son héros, son auteur, son message, sa note d'espoir. En somme j'ai tout aimé, je crois qu'une longue pile de livres m'attende avec Grisham.