Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La liberté ou l'amour ! est un texte de 1927 où éclate l'absolu d'une poésie sans complaisance. Une orchestration verbale complexe produit un récit...
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Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
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Résumé
La liberté ou l'amour ! est un texte de 1927 où éclate l'absolu d'une poésie sans complaisance. Une orchestration verbale complexe produit un récit soutenu par les vagues du délire le plus délibérément accueilli. Derrière les aventures de Corsaire Sanglot et de Louise Lame se profilent les ombres complices de Lautréamont, d'Eugène Sue et du Divin Marquis. La revendication majeure du livre est la liberté de l'amour, car l'amour est l'essence même de tout merveilleux. Deuil pour deuil, qui complète cet ouvrage, est paru en 1924, l'année même du Manifeste du surréalisme. Là aussi, à travers une histoire au fil sans cesse rompu, c'est le merveilleux qui domine, qu'il s'agisse de " l'étoile de mer qui parle avec l'huître et l'épave " ou d'une " lettre d'amour perdue par le facteur au coin de la rue Montmartre et de la rue Montorgueil ".
La liberté ou I'amour ! est un texte de1927 où éclate l'absolu d'une poésie sans complaisance. Une orchestration verbale complexe produit un récit soutenu par les vagues du délire le plus délibérément accueilli. Derrière les aventures de Corsaire Sanglot et de Louise Lame se profilent les ombres complices de Lautréamont, d'Eugène Sue et du Divin Marquis. La revendication majeure du livre est la liberté de l'amour, car I'amour est l'essence même de tout merveilleux. Deuil pour deuil, qui complète cet ouvrage, est paru en 1924, l'année même du Manifeste du surréalisme. Là aussi, à travers une histoire au fil sans cesse rompu, c'est le merveilleux qui domine, qu'il s'agisse de "l'étoile de mer qui parle avec l'huître et l'épave" ou d'une "lettre d'amour perdue par le facteur au coin de la rue Montmartre et de la rue Montorgueil" .