Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La Duchesse de Langeais (1833-1834), roman inspiré à Balzac par son aventure manquée avec la marquise de Castries, est le second volet de l'Histoire...
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Résumé
La Duchesse de Langeais (1833-1834), roman inspiré à Balzac par son aventure manquée avec la marquise de Castries, est le second volet de l'Histoire des Treize. Après avoir déployé l'éventail de la séduction pour conquérir le général de Montriveau à seule fin de se désennuyer, la duchesse de Langeais se dérobe à l'amour de son prétendant... Celui-ci, membre de la société secrète des Treize, parviendra-t-il à la faire céder ? " Souverainement femme et souverainement coquette ", la duchesse, mariée, abdiquera-t-elle sa réputation et son orgueil ? Reine du faubourg Saint-Germain et obscure servante de la religion de l'amour, Antoinette de Langeais méritait, comme la princesse de Clèves, de donner son nom à l'histoire d'une passion émouvante et tragique.
La Duchesse de Langeais (1833-1834), roman inspiré à Balzac par son aventure manquée avec la marquise de Castries, est le second volet de l'Histoire des Treize. Après avoir déployé l'éventail de la séduction pour conquérir le général de Montriveau à seule fin de se désennuyer, la duchesse de Langeais se dérobe à l'amour de son prétendant... Celui-ci, membre de la société secrète des Treize, parviendra-t-il à la faire céder ? "Souverainement femme et souverainement coquette" , la duchesse, mariée, abdiquera-t-elle sa réputation et son orgueil ? Reine du faubourg Saint-Germain et obscure servante de la religion de l'amour, Antoinette de Langeais méritait, comme la princesse de Clèves, de donner son nom à l'histoire d'une passion émouvante et tragique.