Ce remarquable ouvrage est – je n’oserai dire une bible ! – en tout cas, une mine d’informations sérieuses sur l’histoire des ordres et congrégations religieuses en France ; il m’a intéressé et éclairé de bout en bout malgré un texte de 1260 pages, il est vrai, très bien écrit, très clair, très documenté et régulièrement illustré, complété par des encadrés, des tableaux, des graphiques et des cartes, de surcroît, suivi de copieuses annexes, d’une bibliographie exhaustive et d’un utile lexique.
Bien sûr, dans un texte aussi long et dense, se glissent inévitablement
quelques coquilles. Pour ne relever que celles qui concernent un sujet que je connais bien, il me semble (cf. page 577) qu’en 1608, saint François de Sales a publié « l’Introduction à la vie dévote » (« Ce livret est sorti de mes mains en 1608 », Avis au lecteur) et non le « Traité de l’amour de Dieu », publié en 1616 (« A Annecy, le jour des très aimants apôtres saint Pierre et saint Paul, 1616 », Préface).
En outre, à la page 751, toujours à propos de saint François de Sales, l’autrice écrit : « Le 2 février 1656, il s’explique à ce sujet auprès de Mgr de Vaudemont [Marquemont ?], archevêque de Lyon. » Or, saint François de Sales est mort, certes à Lyon, mais le 28 décembre 1622 !
Cela dit, je remercie Sophie Hasquenoph pour son grand savoir et son objectivité (car elle n’occulte pas les travers de certains religieux et les déficiences de certains ordres) et également l’éditeur qui a réduit le prix initial de ce livre, présenté en coffret cartonné, de 39 euros à moins de 20 !
Remarquable ouvrage, objectif et éclairant : une mine d'informations sérieuses !
Ce remarquable ouvrage est – je n’oserai dire une bible ! – en tout cas, une mine d’informations sérieuses sur l’histoire des ordres et congrégations religieuses en France ; il m’a intéressé et éclairé de bout en bout malgré un texte de 1260 pages, il est vrai, très bien écrit, très clair, très documenté et régulièrement illustré, complété par des encadrés, des tableaux, des graphiques et des cartes, de surcroît, suivi de copieuses annexes, d’une bibliographie exhaustive et d’un utile lexique.
Bien sûr, dans un texte aussi long et dense, se glissent inévitablement quelques coquilles. Pour ne relever que celles qui concernent un sujet que je connais bien, il me semble (cf. page 577) qu’en 1608, saint François de Sales a publié « l’Introduction à la vie dévote » (« Ce livret est sorti de mes mains en 1608 », Avis au lecteur) et non le « Traité de l’amour de Dieu », publié en 1616 (« A Annecy, le jour des très aimants apôtres saint Pierre et saint Paul, 1616 », Préface).
En outre, à la page 751, toujours à propos de saint François de Sales, l’autrice écrit : « Le 2 février 1656, il s’explique à ce sujet auprès de Mgr de Vaudemont [Marquemont ?], archevêque de Lyon. » Or, saint François de Sales est mort, certes à Lyon, mais le 28 décembre 1622 !
Cela dit, je remercie Sophie Hasquenoph pour son grand savoir et son objectivité (car elle n’occulte pas les travers de certains religieux et les déficiences de certains ordres) et également l’éditeur qui a réduit le prix initial de ce livre, présenté en coffret cartonné, de 39 euros à moins de 20 !