Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'ouvrage retrace le parcours de deux architectes habités par le théâtre. Dans le panorama de l'architecture contemporaine, Valentin Fabre et Jean...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
L'ouvrage retrace le parcours de deux architectes habités par le théâtre. Dans le panorama de l'architecture contemporaine, Valentin Fabre et Jean Perrottet tiennent une place particulière, indissociable de leur passion. Depuis le début des années soixante, ils ont construit ou réhabilité plus de vingt théâtres. À partir de leur rencontre, au sein de l'Atelier d'urbanisme et d'architecture (AUA), avec René Allio, scénographe décorateur, ils participent à l'étude sur les maisons de la culture engagée à la demande d'André Malraux. Leurs créations reflètent alors les évolutions de la pratique théâtrale, dans une approche conceptuelle qui privilégie la fonctionnalité du lieu mise au de la création artistique, tout en optimisant les conditions d'accueil du public le plus large possible. Près de trois cents illustrations, plans, croquis, photographies, dévoilent leurs réalisations majeures : Théâtre de la Ville, théâtre des Gémeaux à Sceaux, théâtre national de Chaillot, MC 93-Boblgny, théâtre national de la Colline, théâtre d'Angoulême, Opéra de Rennes..., autant de précieux témoignages sur la vie scénique et dramaturgique en France depuis près de cinquante ans. Le théâtre contemporain se caractérise par le fait qu'il ne répond plus à une forme unique donnée. Le théâtre idéal n'existe pas. Les créations sont aussi multiples qu'originales et un lieu théâtral n'a de valeur que par les spectacles qui l'habitent V. P, J.P.