Petit traité de scénographie. Représentation de lieu/Lieu de représentation

Par : Marcel Freydefont
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  • Nombre de pages151
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.175 kg
  • Dimensions12,0 cm × 17,0 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-84809-073-3
  • EAN9782848090733
  • Date de parution13/04/2007
  • CollectionLes Carnets de la MCLA
  • ÉditeurJoca Seria
  • PréfacierPhilippe Coutant

Résumé

Marcel Freydefont a choisi 76 extraits de textes afin de faire mieux connaître la scénographie. Depuis Aristote, avec L'invention de la scénographie et Le Fabricant d'accessoires, Vitruve avec la définition de l'Ichnographie, l'Orthographie, la Scénographie et la description Des trois sortes de Scène jusqu'à Aillaud qui écrit A propos des décors de théâtre, Kokkos qui parle de Rendre visible l'invisible, François, qui estime qu'il y a deux voies pour le scénographe, L'illustration et la métaphore, ou Jeanneteau pour qui La scénographie n'a d'existence que dans le temps de la représentation, Sivadier, pour qui l'on n'a pas besoin de décor, on a besoin d'espace, en passant par Shakespeare qui invoque la scène agile, Hugo qui en appelle à La localité exacte, Appia qui s'interroge Comment représenter sur la scène une forêt ? ou Copeau qui affirme vouloir Renoncer à l'idée de décor, sans oublier la position des architectes et des dramaturges, ce florilège déploie le cours de la pensée théâtrale à travers une esthétique de la représentation de lieu et du lieu de représentation.
Marcel Freydefont a choisi 76 extraits de textes afin de faire mieux connaître la scénographie. Depuis Aristote, avec L'invention de la scénographie et Le Fabricant d'accessoires, Vitruve avec la définition de l'Ichnographie, l'Orthographie, la Scénographie et la description Des trois sortes de Scène jusqu'à Aillaud qui écrit A propos des décors de théâtre, Kokkos qui parle de Rendre visible l'invisible, François, qui estime qu'il y a deux voies pour le scénographe, L'illustration et la métaphore, ou Jeanneteau pour qui La scénographie n'a d'existence que dans le temps de la représentation, Sivadier, pour qui l'on n'a pas besoin de décor, on a besoin d'espace, en passant par Shakespeare qui invoque la scène agile, Hugo qui en appelle à La localité exacte, Appia qui s'interroge Comment représenter sur la scène une forêt ? ou Copeau qui affirme vouloir Renoncer à l'idée de décor, sans oublier la position des architectes et des dramaturges, ce florilège déploie le cours de la pensée théâtrale à travers une esthétique de la représentation de lieu et du lieu de représentation.