Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dans le livre I, Tertullien a établi l'inexistence du prétendu dieu supérieur de Marcion, dieu de pure bonté, étranger au monde, et qui se serait...
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Résumé
Dans le livre I, Tertullien a établi l'inexistence du prétendu dieu supérieur de Marcion, dieu de pure bonté, étranger au monde, et qui se serait révélé sans préparation en Jésus-Christ. Le livre II veut être une apologie du Créateur ou dieu des juifs, critiqué et même blasphémé dans les Antithèses de l'hérétique.
Après avoir souligné la bonté que la création de l'homme et du monde manifeste comme un trait essentiel en lui, le polémiste le réhabilite contre les diverses imputations dont il est l'objet. Suivant un plan très ferme, en crescendo, il examine pièce par pièce le dossier qui permettait à Marcion de dresser le portrait d'un dieu versatile, incohérent, cruel, indigne même de la divinité.
Dans cette défense de l'enracinement judaïque de la Révélation, Tertullien est tributaire de Justin, d'Irénée, de toute la tradition de l'Eglise. Mais il sait faire preuve d'une grande originalité. Il a l'honnêteté de ne pas recourir à l'exégèse allégorique vis-à-vis d'un adversaire qui repoussait ce type d'explication.
Par ses analyses puissantes sur le libre arbitre, sur les liens entre justice et bonté, ce livre dépasse le contexte historique de la controverse pour devenir une véritable théodicée. La vigueur du style et la chaleur de la conviction lui confèrent un relief particulier.
Professeur émérite de langue et de littérature latines à Nice, René BRAUN a consacré l'essentiel de sa recherche à la patristique africaine, et notamment à Tertullien dont il a étudié, en particulier, le vocabulaire théologique.