Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
À supposer qu'on me demande ici d'arrêter de commencer mes poèmes par le démarreur " À supposer... " supposé agacer les nerfs de l'occidental comme...
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Résumé
À supposer qu'on me demande ici d'arrêter de commencer mes poèmes par le démarreur " À supposer... " supposé agacer les nerfs de l'occidental comme toute espèce de répétition, je répondrais, non que le sens commun doit avoir une forme commune, car le sens n'a pas de forme (et c'est le verbe " avoir " qui est, ici, inopérant), mais que, là-dessus je suis formel, le sens commun formel de ce poème est une promenade en voiture et en langue, libre dans la démesure de son règlement, dans la voiture qu'est ce poème lui-même, et que ce poème roule, fait de cailloux et de grains dans la bouche du rhéteur entraîné, ce qui entre nous soit dit ne se fait pas tout seul, ne se fait pas que pour soi, ne se fait pas pour tout le monde - et ce n'est pas une affaire d'élite car la question de l'élitisme est une question toujours poli-tique, jamais esthétique -, promenade justement avec un début qui ne souffre pas d'hésitation, la fin étant connue en terme de dernière ponctuation mais en terme de dernier mot, point.