Voilà un roman qui n’a malheureusement absolument pas fonctionné avec moi.
Le synopsis était alléchant, et, au moment où je l’ai lu (il y a quelques semaines de cela) j’avais hâte de le découvrir, aucun doute là dessus.
Mais, dès les premiers chapitres j’ai senti que l’alchimie entre nous n’allait pas fonctionner.
Pour autant je l’ai bien entendu lu du début à la fin, et je dois d’ailleurs reconnaître qu’il se lit assez rapidement.
Là où je n’ai absolument pas adhéré c’est sur les différents choix de l’auteur concernant ses protagonistes et/ou
leurs dialogues.
Je ne nie évidemment pas que ce genre de personnages existent (hélas...).
Les êtres profondément mauvais sont légion, et s’il reste une atrocité à inventer, nous pouvons compter sur l’humain pour ne reculer devant rien pour y parvenir sans hésitation. C’est pour moi une certitude.
Pourtant, à la façon dont l’auteur présente les choses, on pourrait croire qu’il pense que toute personne vivant en province est : raciste, homophobe, violent, alcoolique et vulgaire.
Voire même incestueux, si on se réfère à la fameuse scène où Marie couche avec son propre fils (répondant au nom de Jesus...).
Tout cela a fortement contribué à freiner mon plaisir de lecture.
Je reste pourtant persuadée que l’auteur a voulu faire passer un message à son lectorat.
Peut-être a t-il voulu pousser le lecteur dans ses retranchements et a-t-il (trop) fortement forcé le trait afin de nous pousser à ouvrir les yeux sur une certaine réalité ? C’est pour moi plus que probable, et je ne peux que lui tirer mon chapeau pour le culot dont il a su faire preuve.
Mais ça n’a malheureusement pas contrebalancé les nombreux clichés et les vulgarités répétitives qui ont gêné (et par moments totalement annulé) mon plaisir de lecture et ont fait disparaître mon intérêt pour l’intrigue.
Ce ressenti n’engage évidemment que moi, et le mieux est bien entendu que chacun se fasse son opinion par lui-même.
Quant à moi, je lirai avec intérêt le prochain roman d’Anthony Bussonnais, afin de voir vers quoi il se dirige.
Rendez-vous manqué.
Voilà un roman qui n’a malheureusement absolument pas fonctionné avec moi.
Le synopsis était alléchant, et, au moment où je l’ai lu (il y a quelques semaines de cela) j’avais hâte de le découvrir, aucun doute là dessus.
Mais, dès les premiers chapitres j’ai senti que l’alchimie entre nous n’allait pas fonctionner.
Pour autant je l’ai bien entendu lu du début à la fin, et je dois d’ailleurs reconnaître qu’il se lit assez rapidement.
Là où je n’ai absolument pas adhéré c’est sur les différents choix de l’auteur concernant ses protagonistes et/ou leurs dialogues.
Je ne nie évidemment pas que ce genre de personnages existent (hélas...).
Les êtres profondément mauvais sont légion, et s’il reste une atrocité à inventer, nous pouvons compter sur l’humain pour ne reculer devant rien pour y parvenir sans hésitation. C’est pour moi une certitude.
Pourtant, à la façon dont l’auteur présente les choses, on pourrait croire qu’il pense que toute personne vivant en province est : raciste, homophobe, violent, alcoolique et vulgaire.
Voire même incestueux, si on se réfère à la fameuse scène où Marie couche avec son propre fils (répondant au nom de Jesus...).
Tout cela a fortement contribué à freiner mon plaisir de lecture.
Je reste pourtant persuadée que l’auteur a voulu faire passer un message à son lectorat.
Peut-être a t-il voulu pousser le lecteur dans ses retranchements et a-t-il (trop) fortement forcé le trait afin de nous pousser à ouvrir les yeux sur une certaine réalité ? C’est pour moi plus que probable, et je ne peux que lui tirer mon chapeau pour le culot dont il a su faire preuve.
Mais ça n’a malheureusement pas contrebalancé les nombreux clichés et les vulgarités répétitives qui ont gêné (et par moments totalement annulé) mon plaisir de lecture et ont fait disparaître mon intérêt pour l’intrigue.
Ce ressenti n’engage évidemment que moi, et le mieux est bien entendu que chacun se fasse son opinion par lui-même.
Quant à moi, je lirai avec intérêt le prochain roman d’Anthony Bussonnais, afin de voir vers quoi il se dirige.