A travers la déchéance de Eckel, le narrateur, toxicomane et malade du Sida, c'est à la lente descente aux enfers de toute une génération que nous assistons. Ici, point de salut. De plans galères en braquages minables, de périodes de manque insoutenable au "shoot" faussement libérateur, d'hôtels minables en squats sordides, nous suivons Eckel dans son enfer quotidien. Servi par une écriture puissante, poétique, séminale, "La faux soyeuse" est un roman qui ne vous laissera pas indemne.
Vous qui vous préparez à lire ce livre, abandonnez tout espoir.
Poésie du désespoir
A travers la déchéance de Eckel, le narrateur, toxicomane et malade du Sida, c'est à la lente descente aux enfers de toute une génération que nous assistons. Ici, point de salut. De plans galères en braquages minables, de périodes de manque insoutenable au "shoot" faussement libérateur, d'hôtels minables en squats sordides, nous suivons Eckel dans son enfer quotidien. Servi par une écriture puissante, poétique, séminale, "La faux soyeuse" est un roman qui ne vous laissera pas indemne.
Vous qui vous préparez à lire ce livre, abandonnez tout espoir.